
Jay Johnson poursuit en faisant une référence qui nous intéresse particulièrement puisqu'elle concerne un document du US War College dont nous avions justement parlé six ans auparavant …
« Il y a sept ans, l'US Army War College a publié un rapport appelant l'armée à se préparer à réprimer, en cas de besoin, les troubles civils dans le pays. Le journaliste d'investigation, Chris Hedges, a résumé ainsi le rapport : « L'armée doit se préparer, selon le document, à une »violente dislocation stratégique à l'intérieur même des États-Unis », qui pourrait être provoquée par »un effondrement économique imprévu », »une résistance intérieure délibérée », »une catastrophe sanitaire » ou »un vide de pouvoir juridique et légal ». La »violence civile généralisée », dit le document, »forcerait les responsables de la défense à réorienter in extremis les priorités pour défendre l'ordre intérieur et la sécurité des individus. » Est-ce la raison pour laquelle l'opération Jade Helm doit commencer dans seulement quelques semaines ? »
» Il s'agit d'un exemple convaincant de l'évolution de la réflexion stratégique. La forme de la “surprise stratégique” pour la période considérée a ses racines dans l'attaque du 11 septembre 2001, mais les hypothèses concernaient essentiellement des causes d'une telle surprise qui viendraient de l'extérieur. L'ouragan Katrina et ses conséquences ont commencé à modifier cette perception. La crise actuelle achève cette modification, au point qu'on peut parler de transformation de la perception stratégique. L'hypothèse de troubles intérieurs US restaient jusqu'alors, justement, du domaine de l'hypothétique liée à une pensée spéculative sinon exaltée ; désormais, elle est directement liée à des événements en cours.
» On observera que l'hypothèse concerne des événements auxquels les pays européens sont habitués, comme, aujourd'hui, les événements en Grèce. Cette sorte d'événements est complètement inhabituel pour les USA, qui se présentent comme une société de grande cohésion civique, – en réalité un ordre maintenu autant par le conformisme des conceptions que par l'absence d'unité sociale éventuellement contestatrice et une forte présence de la loi. Ce caractère rigide de l'ordre public dans les domaines social et politique est d'autant plus important que le pays est fragile et vulnérable du point de vue de sa structure et de sa cohésion. On voit que certaines réactions à la situation économique impliquent déjà des références à la guerre de Sécession. Le document du SSI nous indique que, plus que l'idée précise d'une dictature militaire, c'est à notre sens la crainte de la vulnérabilité structurelle des USA qui s'empare des esprits des stratèges (US mais aussi occidentaux dans un sens plus large). La notion de “surprise stratégique”, qui est la marque du temps, se détache de l'agression extérieure, du mythe du terrorisme, pour parvenir au stade ultime qui est la cohésion structurelle des USA. La crise est passée par là et elle ne va plus cesser de renforcer cette hypothèse, d'entretenir cette crainte. Il s'agit sans aucun doute de la crainte ultime de la pensée stratégique occidentale depuis la Deuxième Guerre mondiale. Si la cohésion du “centre” est mise en cause, c'est l'intégrité fondamentale du système qui est mise en cause. Le cas central de la puissance de notre système se trouve concentré effectivement dans la question de la “cohésion stratégique” des USA, menacée par le risque de “dislocation stratégique”. La crise financière et économique a ouvert la boîte de Pandore. »
** Le Railroad Retirement Board (RRB) est un organisme fédéral indépendant qui supervise les programmes de retraite et les prestations de chômage pour les travailleurs de chemin de fer et de leurs familles.
***** Le United States Consumer Product Safety Commission (CPSC) est une agence indépendante du gouvernement des États-Unis créée en 1972 par le Consumer Product Safety Act dans le but de protéger les personnes contre les « risques déraisonnables de lésions dues à des produits de large distribution »

Il fut conforté dans cette pensée par l'accord entre l'Allemagne et la Pologne (qui profita de l'accord de Munich pour s'approprier un morceau de territoire tchécoslovaque) qui aboutit au dépeçage de la Tchécoslovaquie restante en mars 1939. Il faut ici souligner la stupidité du gouvernement polonais (et son aveuglement). Il s'allie avec l'Allemagne alors qu'il est le prochain sur la liste des victimes.
Ajoutons que Staline acquiesça aux demandes de Zhukov du mois d'avril et de mai 1941[6], à l'exception de la mise en alerte des districts frontaliers, qui fut jugée comme pouvant apparaître comme une « provocation » par les Allemands. La phrase par laquelle Vassilevski réveilla Zhukov au matin du 22 juin, « cela a commencé », montre bien que les chefs de l'Armée savaient à quoi s'en tenir.
Il faut aussi rappeler que dans ce conflit, et si l'on met de côté les affrontements de Chine et du Pacifique, trois guerres se sont superposées. Cette superposition donne aussi à ce conflit sa nature profonde.
L'Union soviétique porta le fardeau le plus lourd, et eut à faire face, jusqu'en novembre 1943 à près de 70% des troupes hitlériennes. Il serait normal, il serait juste, que, au-delà des conflits qui peuvent opposer les dirigeants français et russes, le Président français, ou à tout le moins son Premier-ministre, se rende à Moscou pour le 9 mai. Il y va de l'honneur de l'honneur et de la crédibilité de la République.

La Chine et la Russie vont tenir un exercice naval conjoint en méditerranée, une première.
« L’objectif est d’approfondir notre coopération amicale et pratique, et augmenter la capacité des forces navales de nos deux pays à traiter conjointement des menaces de sécurité maritime», a déclaré le porte-parole du ministère chinois de la Défense Geng Yansheng jeudi dans un briefing mensuel.
La Russie a été soumise à des sanctions économiques à cause de sa position en Ukraine qui, selon Washington, menace ses alliés de l’OTAN en Europe orientale.

Puis les rues de la ville se sont vidées, seuls les journalistes et les policiers sont restés sur les lieux.
Des enquêtes sont en cours au niveau local et fédéral, ce qui n’empêche pas les manifestants de continuer à sortir dans les rues de Baltimore pour exiger que justice soit faite. La majorité des manifestants sont pacifiques, mais les émeutes survenues lundi ont poussé le maire de la ville à imposer un couvre-feu de 22 heures à cinq heures du matin et le gouverneur du Maryland à déclarer l’état d’urgence.

L’Union européenne et l’euro, essentiellement construits sur ces bases idéologiques, peuvent-ils survivre à cette remise en cause ? La question ne pourra être évitée. En fait, ce qui émerge, aussi bien lorsqu’on reparle de politique monétaire que lorsqu’on repose la question des traités, est toujours la même : comment mener une politique économique et sociale efficace, comment conduire une diplomatie de développement et de paix, sans le soutien des peuples concernés ? Le droit des peuples à disposer d’eux-mêmes revient au cœur des débats sur l’avenir.

Quel est le rôle de ce point pourquoi les Japonais l’appellent –ils le point d’une centaine de maladies?
En frottant ce point, vous pouvez guérir de nombreux maux, y compris le hoquet, la constipation, la gastrite, l’incontinence.
En outre, vous pouvez placer une demi-gousse d’ail et la laisser pendant 1 à 2 heures (jusqu’à ce que la peau devienne rouge). Le frottement du point Zu San Li de nuit est idéal pour réduire le poids de 400 à 500 grammes par semaine. Ne pas frotter juste avant d’aller dormir car cela peut troubler le sommeil.
4- La nuit, frottez dans le sens contraire aux aiguilles d’une montre, gardant à l’esprit l’objectif final d’améliorer la digestion et de perdre du poids.

C’est une décision de la Grande Chambre de Recours de l’Office Européen des Brevets datée du 25 mars 2015 qui a permis de faire avancer « la cause » des multinationales sur le brevetage du vivant.
Un changement très important du droit
Ce principe de brevetage du vivant — importé des États-Unis où il est actif depuis des décennies — est un cran au dessus du COV, et amène un changement majeur pour le monde agricole, et par ricochet, pour la souveraineté alimentaire et l’autonomie semencière du continent européen. Par le biais de ce système, les plantes qui nourrissent la population peuvent devenir la propriété d’entreprises — le plus souvent spécialisées dans la génétique. Ces entreprises peuvent attaquer en justice — pour contrefaçon — les agriculteurs qui cultivent des plantes sous brevets sans autorisation et paiement d’une redevance. Comme dans le cas des plants d’OGM brevetés, majoritairement interdits à la culture en Europe.
Les sociétés multinationales disposant des moyens technologiques de décoder les séquences génétiques des plantes cultivées et des animaux d’élevage vont ainsi pouvoir s’approprier tout ce que nous mangeons. Les paysans ne pourront plus semer ou faire naître des animaux sans d’abord obtenir l’autorisation de la part du détenteur du brevet contre monnaie sonnante et trébuchante. « C’est un bond en arrière de trois siècles qui rétablit la dîme versée par les paysans aux seigneurs du moyen-âge et la porte ouverte à une biopiraterie généralisée » dénonce Michel Metz, administrateur du Réseau Semences Paysannes.
Les brevets sur les plantes arrivent en Europe. Tout le problème est désormais de savoir quelles volontés politiques s’exerceront à leur égard. Ce que Corinne Lepage résume en une phrase : « De toutes les façons, ça ne peut pas en rester là, ce n’est pas l’Office des brevets qui fait la loi dans l’Union européenne ! »

Les supercalculateurs servent souvent à créer des armes, mais les gouvernements interdisent rarement les exportations de technologies appropriées, ajouté le Wall Street Journal. Ces ordinateurs utilisent des composantes électroniques qu'on peut facilement acheter partout dans le monde et dont on ne peut pas bloquer la propagation.

Ou comment l'UNI, une association "de droite" demande à un président "socialiste" de livrer la France à un Etat Policier. Un bel exemple de l'idéologie des néo-conservateurs américains appliquée à la France
Voici la teneur du courrier électronique envoyé aux abonnés à la newsletter de l'UNI:
C’est une question de courage et de volonté politiques qui dépendent entièrement du Président de la République et du Premier ministre. Les Français ne comprendraient pas que devant la gravité de la menace islamiste sur notre sol, tout ne soit pas fait pour désarmer les terroristes.
À l’occasion du 75e anniversaire de l’obtention du droit de vote des femmes au Québec, le 25 avril prochain, rendons hommage à la première femme élue à l’Assemblée nationale en décembre 1961, il y a 53 ans, Marie-Claire Kirkland-Casgrain, et à la première femme devenue première ministre du Québec (2012-2014), Pauline Marois, 72 ans après l’adoption de la loi.
Que de chemin parcouru en 75 ans, mais il y a encore loin d’une représentativité féminine à l’Assemblée nationale, déplorait ces jours-ci la présidente du Conseil du statut de la femme, Julie Miville-Dechêne.
Mais en ce jour de fête, réjouissons-nous de certains succès et sachons rendre hommage aux pionnières. C’est dans cet esprit qu’un groupe de personnes provenant de divers horizons met à la disposition de la population, via Internet, un cahier de signatures visant à remercier Pauline Marois pour son implication politique. Ce cahier-hommage lui sera remis en septembre prochain : www.mercipaulinemarois.com.
C’est dans ce contexte qu’elle a été invitée à l‘émission Tout le monde en parle, sur les ondes de Radio-Canada, le dimanche 19 avril dernier.
Pauline Marois n’est pas seulement la « mère » des garderies à 7 $, elle a dirigé neuf ministères, dont ceux de la Santé, de l’Éducation et des Finances. Elle a consacré 30 ans de sa vie à la mise en place de politiques familiales, sociales et économiques. Elle a été la première femme à lire le discours sur le budget du Québec, en 2001.
Elle a réussi à abolir les commissions scolaires confessionnelles et à créer des commissions scolaires linguistiques, francophones et anglophones.



« En fait, le message de l’épigénétique est optimiste. Ses empreintes peuvent être inversées, et nous cherchons maintenant à utiliser des médicaments agissant sur ce marquage pour soigner les maladies mentales », explique Moshe Szyf. Il y a aussi des chances pour que le soutien social et psychologique suffise à corriger le marquage épigénétique chez les personnes à risque ». Ainsi, contrairement à ce qu’affirmaient les scientifiques dans les années 1990, nous ne sommes pas uniquement le produit de nos gènes. Nos expériences, nos émotions, nos actions façonnent l’expression de ces gènes en permanence. Avec la certitude que rien n’est irrémédiable.

15 – Nous ne voulons pas que la peau de l’ours soit accrochée au mur, cela n’a rien à voir avec la Crimée.
A vous de vous faire une idée.

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Je suis un jeune dans la trentaine qui a tout pour être heureux. Je suis épanoui tant du point de vue personnel que du point de vue professionnel et je vis dans le confort et l’abondance de biens matériels et immatériels. Néanmoins, j’ai une immense crainte. Celle qu’un jour les petits-enfants que j’espère avoir me lancent : grand-papa, vous avez vraiment été une bande d’imbéciles !
J’éprouve
cette crainte car, si les choses ne changent pas, je n’aurai aucun
argument le moindrement solide pour réfuter cette affirmation ou pour
justifier ce que nous sommes en train de faire. En effet, si les choses
ne changent pas, les générations qui nous suivent auront tout à fait
raison de nous faire des reproches et de nous traiter d’imbéciles.
D’abord, comment pourrons-nous justifier d’avoir continué à dégrader l’environnement à un tel point que l’espérance de vie pourrait plafonner et même diminuer au lieu d’augmenter ? Comment expliquer que, oui, nous savions pertinemment que des milliards (pas des millions, mais bien des milliards) de personnes vivaient dans une pauvreté parfois extrême, mais que nous préférions fermer les yeux et continuer à acheter des vêtements et des appareils électroniques, entre autres, à des prix si bas qu’il fallait vraiment faire de l’aveuglement volontaire pour ne pas nous poser de questions ?
Comment pourrons-nous justifier que nous accordions une telle importance au produit intérieur brut, qui n’est qu’un indicateur de développement parmi tant d’autres, alors qu’il ne tient absolument pas compte des externalités environnementales et sociales ? Pourquoi imagine-t-on encore qu’il faut absolument extraire des ressources naturelles pour s’enrichir ? Quand avons-nous oublié que, pour créer de la richesse, il faut d’abord partager celle que nous avons, et non l’inverse ? Et que dire de l’endettement record des ménages encouragé par des publicités qui vantent la consommation à outrance ? Comment expliquer que nous n’avons pas appris des erreurs du passé et que nous recommençons à faire la guerre au nom des religions ? Le Moyen Âge n’a-t-il pas pris fin il y a 500 ans ?
Tout cela sans parler des problèmes criants en éducation et en santé. Nous sommes en plein coeur de réformes majeures de plusieurs de nos institutions publiques et les mots « réussite », « épanouissement », « services de proximité et à l’échelle humaine », « prévention », « qualité de vie », notamment, ne sont pas prononcés ou sont galvaudés. À croire qu’il s’agit de réformes essentiellement comptables et, à ce qu’il semble, idéologiques. Au fait, quand l’argent est-il devenu plus important que tout le reste ? Comment en sommes-nous venus à oublier ce qui constitue réellement le bonheur ?
Espoirs…
Il y a quand même de bonnes raisons de se réjouir. Plusieurs acteurs du changement sont en marche et se font entendre de plus en plus fort, de telle sorte qu’ils ne peuvent plus être ignorés. De plus en plus de citoyens réclament des réformes, proposent des solutions, demandent des comptes, jouent le rôle de chien de garde et exigent des dirigeants politiques qu’ils gouvernent dans l’intérêt de la population. Après tout, n’ont-ils pas été élus par le peuple, pour le peuple ? Le mouvement est en branle. Nous devons être ambitieux, imaginatifs, critiques et actifs. Nous devons agir de manière rationnelle, cohérente et audacieuse. Nous devons penser globalement, tout en agissant localement. Nous devons nous concerter, imaginer des solutions qui visent le consensus en laissant de côté la partisanerie et les affirmations démagogiques. Et nous devons faire tout cela rapidement pour bâtir une société digne du XXIe siècle. Depuis 15 ans que nous y sommes.
Nous avons plusieurs bonnes raisons d’admirer nos parents et nos grands-parents pour leurs héritages (Révolution tranquille, amélioration de la qualité de vie, libération des femmes, grands projets de société, vision d’avenir, etc.). Et, sans vouloir les idolâtrer, il faut admettre qu’il est difficile de les tenir pour responsables des effets négatifs de leurs gestes et de leurs décisions puisqu’ils n’étaient pas (ou peu) en mesure d’imaginer les conséquences à long terme (accordons-leur le bénéfice du doute, même s’ils ne le méritent pas totalement). Nous n’aurons pas le luxe de formuler la même excuse puisque nous savons pertinemment quelles sont les conséquences des décisions que nous prenons. Il faut cesser de nous mettre la tête dans le sable ou de pelleter le problème en avant.
Alors, deviendrons-nous une bande d’imbéciles aux yeux de nos enfants et petits-enfants ou susciterons-nous plutôt leur admiration pour avoir osé faire les changements qui s’imposent ? Il est plus que temps d’agir.

Sur l’ensemble de ses prêts à tous les pays en crise de la dette entre 2010 et 2014, le FMI a réalisé un bénéfice total de 8,4 milliards €, dont plus d’un quart vient de la Grèce. Tout cet argent a été ajouté aux réserves du Fonds, qui totalisent maintenant 19 milliards €. Ces réserves sont destinées à couvrir les coûts des défauts de paiements. La dette totale de la Grèce envers le FMI est actuellement de 24 milliards €.
« Les prêts du FMI à la Grèce n’ont pas seulement renfloué les banques qui ont prêté imprudemment, ils ont en fait ponctionné encore plus d’argent au pays. Cet intérêt usuraire ajoute à la dette injuste imposée à la population grecque ».

Ce projet souligne les tensions inter-impérialistes croissantes provoquées par la course à la guerre de l’OTAN contre la Russie à propos de l’Ukraine, et la fragilité du rôle du dollar en tant que devise mondiale.
La nouvelle que les banques chinoises aideraient à financer le projet Yamal s’est répandue peu après l’annonce qu’une large coalition de pays – dont la Grande-Bretagne, l’Allemagne, la France, l’Italie, la Corée du Sud, et l’Australie – rejoindrait la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (AIIB) financée par la Chine.
En mai dernier, Poutine avait signé à Shanghai un accord de $400 milliards avec les dirigeants chinois, et trois mois plus tard, les travaux commençaient sur des pipelines reliant la Sibérie à la Chine.
Trente-sept des sociétés du CAC-40 sont implantées en Russie, ainsi que 1.200 PME françaises. Total, Renault, Danone, Sanofi, Auchan, et Decathlon y emploient tous plus de 50.000 travailleurs.
Claude Goasguen, le maire de droite du très bourgeois 16e arrondissement de Paris, a carrément déclaré qu’en fait, l’Europe n’était pas d’accord avec la façon dont les sanctions étaient appliquées.

Au cours de la décennie qui a suivi l’effondrement de l’Union Soviétique, les stratèges américains ont élaboré des méthodes de renversement d’un pouvoir politique ne nécessitant pas d’intervention militaire et limitant au maximum le nombre de victimes collatérales.
Les révolutions de couleur sont basées sur des stratagèmes extrêmement subtils, modernes et subversifs, fondés sur la non-violence et conçus par un politologue américain du nom de Gene Sharp.
Ces techniques pratiques visant à réaliser des révolutions non violentes vont être adaptées au monde moderne et fusionnées avec les nouvelles technologies, trouvant dans les réseaux sociaux un formidable vecteur de propagation. Dans la foulée, les initiateurs et militants d’Otpor et du coup d’Etat en Serbie ont créé à Belgrade le centre CANVAS, qui promeut les stratégies des révolutions non violentes partout dans le monde et se targue d’être « intervenu » dans plus d’une quarantaine de pays. La liste des partenaires et sponsors annoncés sur le site témoigne de la mainmise du département d’Etat sur cette « usine à révolutions », implication du reste confirmée par Wikileaks.
La réalité va cependant rapidement reprendre ses droits, et les régimes issus des quelques révolutions de couleur s’effondrer aussi rapidement qu’ils avaient éclos. En Serbie, ce sont les ex-partenaires de Milosevic qui sont au pouvoir, l’opposition a repris le pouvoir en Géorgie et en Ukraine, les dernières élections présidentielles et législatives organisées dans un cadre légal (impliquant tous les partis, et pas en temps de guerre) ont vu la victoire systématique de Viktor Ianoukovitch et du Parti des régions.
Après la révolution de couleur 1.0 (non violente), la révolution de couleur 2.0 (non-violente et via l’aide d’internet), nous assistons actuellement à l’éclosion de la version 3.0: des révolutions de couleurs ultraviolentes, réalisées à l’aide des nouvelles technologies.

M. Kim, qui doit sa nomination à la tête de la Banque mondiale à l’appui qui lui a été apporté par les Etats-Unis, a par ailleurs révélé qu’il envisage de rencontrer des responsables chinois lors des réunions de printemps du FMI et de la Banque mondiale prévues la semaine prochaine pour discuter de cette collaboration.

Quand les Britanniques posent le pied en Australie à la fin du XVIIIe siècle, la population aborigène est estimée entre 300 000 et 750 000… En 1900, il ne reste plus qu’entre 60 000 et 100 000 Aborigènes en Australie..
Le XXe siècle sera le théâtre d’un des épisodes les plus sombres de l’histoire australienne : les générations volées. Entre 1901 et 1969, une loi oblige les enfants métis à être élevés parmi des institutions blanches. Les enfants vont être arrachés de force à leur famille, placés dans des orphelinats ou des centres sociaux, pour être éduqués à l’européenne. La justification est le sang « blanc » des enfants, et la politique, décidément bien dans son époque, celle de la montée des totalitarismes, est celle de la White Australia, de « l’Australie aux Blancs ». Il y a de la xénophobie, du fascisme et des relents abjects de tout parti d’extrême-droite européen de l’époque qui évoquent la pureté d’une race, d’un sang ou d’une éducation. Il faudra attendre 2008 pour que le gouvernement australien, celui de Kevin Rudd, demande pardon à toutes les familles concernées par les générations volées. Le nombre d’enfants séparés de leurs familles n’a pas été établi clairement. Mais en 1997, le rapport « Bringing them home » (« Les ramener chez eux »), évoque le chiffre terrifiant de 100 000 enfants.
Source et fin de l’article sur: Australia-australie.com

En cumulant les sommes allouées en 2014 à celles allouées en 2013, on peut établir un premier classement des journaux qui profitent le plus de cette manne financière. Je vous laisse apprécier la pertinence des différents projets.
- Figaro.tv : «plus de 100 vidéos par jour pour faire entrer le groupe dans l’ère de l’image» (1.820.000€)
- Data 2014 : «récolter, stocker, traiter et activer les données utilisateurs» (1.735.000€)
- Grid : «l’application mobile multi-flux dédiée aux entreprises et à la veille économique» (588.000€)
- 2014 Mobilité first : «une offre exclusive et expérimentale dédiée aux usages mobiles» (1.840.000€)
- Mon quartier numérique : «une offre payante dédiée à Paris et sa région» (1.042.000€)
- La «Digital TV» du Parisien.fr (556.000€)
- Le hub politique : «un nouvel usage de l’information politique» (766.000€)
- «Individualiser l’offre éditoriale et l’expérience utilisateur» (853.000€)
- «Création d’une gamme d’offres publicitaires «Natives» avec un Back office dédié pour l’annonceur» (267.000€)
Le fonds Google est co-administré par l’Association de la Presse d’Information Politique et Générale (AIPG), qui regroupe les grands médias de la presse généraliste, qui — surprise — se retrouvent en tête de ce classement. Un seul «intrus» dans cette liste : Contexte, un pure-player consacré aux politiques françaises et européennes.
Edit : Le calcul est effectué sur les allocations de fonds annoncées publiquement par Google et ne prend pas en compte les éventuels ajustements ultérieurs sur ces sommes. Le fonds Google refuse de publier les sommes effectivement versées.

L’argent liquide serait-il voué à disparaître ? C’est, en tout cas, l’avis des banques, qui trouveraient là un moyen de faire des économies – la gestion de la masse de billets et pièces, rien qu’en eurozone, leur coûte 60 milliards par an – et d’inciter les consommateurs à dépenser davantage, grâce à des transactions simplifiées et dématérialisées. La Norvège prévoit même, pour 2020, la fin des espèces. Il en résulterait une traçabilité parfaite de nos dépenses, une connaissance millimétrée de nos goûts, de notre vie. Nous deviendrions tributaires des desiderata des banques, puisque nous ne pourrions plus retirer nos deniers. « L’État aura un contrôle absolu sur l’argent de ses citoyens et des investisseurs », prédit le macroéconomiste Michel Santi. On en frémit d’avance…

Dans un e-mail dont l'AFP a obtenu une copie, Laurent Léger précise
que ce collectif réunit onze collaborateurs, dont lui-même, le médecin
urgentiste Patrick Pelloux et le dessinateur Luz. Ce collectif a engagé
deux avocats.
"Pour le moment, on n'est pas associé aux choix. Il n'y a rien contre la direction actuelle, aucun conflit avec qui que ce soit, mais par rapport à ce qui s'est passé les salariés veulent être davantage acteurs de l'entreprise", a déclaré pour sa part Patrick Pelloux, joint par l'AFP. "A partir du moment où une entreprise est décimée, vous vous sentez complètement liés à elle. Il ne s'agit pas de se partager le gâteau. L'argent ne nous intéresse pas", assure-t-il.
Juste avant l'attentat jihadiste qui a tué douze personnes de son équipe, le journal, au bord de la faillite, ne se vendait qu'à 30 000 exemplaires. Il a depuis vu affluer les dons, les abonnements et vendu à plus de 7 millions d'exemplaires son "numéro des survivants", sorti le 14 janvier. En tout, Charlie Hebdo pourrait recueillir jusqu'à 30 millions d'euros.

[Les Alliés] sont peut-être trop polis pour dire aux États-Unis droit dans les yeux « Regardez, vous avez $ 18,1 trillions de dette officielle, vous avez $ 42000000000000 de passif non capitalisé, et vous êtes une sorte de poids pour nous. On se débarrasse de vous .” Ainsi, à la place, ils y vont avec l’approche « ce n’est pas vous, c’ est moi » .
Mais à tous ceux qui y accordent une attention, c’est assez évident où va cette tendance .
Ce ne sera pas long avant que d’autres pays occidentaux sautent dans le train anti-dollar dans l’action et pas seulement dans les mots.
Après avoir fermé sa pertinente et enrichissante vitrine culturelle en 2013, Espace création, Loto-Québec a décidé qu’elle n’achètera plus d’art pour un an. Tout cela malgré des profits de 257 millions au troisième trimestre. En dépit de ses 35 ans d’existence et de son rayonnement culturel, la société d’État a décidé de sabrer son aide aux artistes et à la culture afin de contrer un 5 % en moins dans ses revenus. Cela est scandaleux et honteux.
Pourtant, Loto-Québec possède une collection diversifiée de près de 5000 oeuvres, de plus de 1200 artistes, dont David Adjmed, Valérie Blass, Sophie Jodoin, Marc Séguin et Jean-Paul Riopelle. La très grande majorité de nos artistes, en arts visuels, vivent très modestement, voire pauvrement. Pour bon nombre, ça prend au moins dix ans de travail acharné avant de toucher le même montant que la dernière indemnité de départ de l’ex-ministre Bolduc !
Pourquoi priver et appauvrir encore davantage les artistes et notre culture ? Et dire que le p.-d.g. de Loto-Québec, Gérard Bibeau, gagne plus de 357 130 $ (l’an dernier).
En tant que collectionneur et passionné d’art visuel, je suis outré par cette décision austère, mal éclairée et synonyme d’inculture. En d’autres mots, le fait que plusieurs de nos grands dirigeants manquent de culture explique la pauvreté et la tristesse d’une décision comme celle-ci.

En fait, la fureur de cette campagne de désinformation est fondée sur la frustration occidentale à l’encontre de la volonté d’un homme, s’appuyant sur une nouvelle génération de responsables russes, décidé à sortir la Russie de la profonde crise de la fin du XX° siècle. La conséquence immédiate est que les immenses projets de prédation, planifiés par le Big Business occidental à la suite de l’effondrement du régime communiste se sont, malgré d’excellents débuts, trouvés rapidement bloqués par un homme : Poutine. D’où les campagnes hystériques dans les médias occidentaux.
En fait, les privatisations accélérées, imposées par l’Occident via la Banque Mondiale et le FMI, n’avaient pas pour objectif de créer ou de développer une classe moyenne, mais de faire acheter, par les multinationales, pour une bouchée de pain l’essentiel de la richesse du pays : pétrole, gaz, mines (fer, charbon, or, diamant, etc.).
Dans ce nettoyage, un des plus brillants et des plus efficaces collaborateurs de Poutine, Andrei Kozlov, a été assassiné. Il avait retiré les licences d’exploitation à 95 banques russes spécialisées dans le blanchiment de ce pillage. Il était en train de décortiquer les implications des multinationales de l’énergie dans le pillage et les détournements de fonds. Malgré cette guerre souterraine et les opérations de déstabilisation organisées par les occidentaux, avec une campagne de dénigrement à l’échelon international, Poutine et son équipe tiennent bon.
Poutine, sait très bien que, pour le déstabiliser, les services spéciaux occidentaux sont prêts à faire assassiner leurs propres agents en Russie… Pour l’accuser, ensuite, d’assassiner ses opposants. Quand on a plus de 70% des russes qui sont pour vous, il est nul besoin de faire assassiner des opposants « médiatiques » (journalistes, et autres figures de composition…) qui émargent, la plupart, sur les livres de paye des services secrets occidentaux, via des associations « bidons ». Il connaît trop bien les combats de l’ombre… Par contre on ne parle jamais des milliers de personnes que les drones d’Obama exécutent chaque année sans autre forme de procès !
Poutine c’est l’homme qui a rétabli la démographie russe ! Suite à la politique du capital maternel, allégements fiscaux, primes à la naissance, les naissances sont remontées à 2 Millions de Russes en 2013, après être descendues à moins d’un million dans les années 1990 ! Poutine c’est aussi l’homme qui a rétabli la puissance militaire de la Russie avec un budget militaire qui se rapproche aujourd’hui de 3% du PIB russe, et qui a changé la donne géostratégique.
Attention, je ne fais pas de Poutine un surhomme ni mon « modèle », alors attention aux amalgames que certains vont faire rapidement, mais je suis étonné que certaines personnes, au demeurant plutôt intelligentes, se soient laissées emporter par de vieux réflexes primaires et hurlent aux loups au coté de médias et de politiques qui nous dépècent jour après jour … et enfin, réfléchissez bien : est-ce Poutine qui a placé son pays à proximité des bases de l’Otan ?


Les sources viennent du parti communiste ukrainien, « Les communistes (KPU) dénoncent une volonté d’écraser toute forme d’opposition et à légitimer la répression politique. Petro Simonenko, Premier secrétaire du Parti Communiste d’Ukraine (KPU) n’est pas surpris par cette loi. « Lorsque qu’un régime politique mène des attaques sans précédent contre les droits des citoyens, contre les salaires, déclenche une guerre contre son propre peuple, cela suscite une opposition active de la population. Les députés du parti au pouvoir « Front populaire » ont donc naturellement introduit un projet de loi qui prévoit une punition pour les citoyens qui critiquent le gouvernement à tous les niveaux. Critiquer le président ou le parlement nous envoi en prison. Dénoncer l’inefficacité des fonctionnaires nous envoi en prison. Lutter contre la corruption du pouvoir, qui sape sa crédibilité, nous envoi en prison. Vous n’aimez pas les gangs et les atrocités nazies dans le pays et vous critiquez une « association de citoyens » est passible d’un emprisonnement » déclare Petro Simonenko. « En fait, je suis convaincu » déclare le leader communiste « que le projet de loi ?2225 vise à détruire toute opposition, il viole les droits civils fondamentaux, notamment Européen ».
Soros à Munich. La guerre est en Ukraine. Un état particulier règne dans ce pays. Des lois particulières peuvent être appliquées pour cette raison. En tout cas le gouvernement de Kiev obtient le soutient de l’Union européenne, de BHL, de Bernard Kouchner. Pour le combat des droits de l’homme et de la liberté d’expression l’Euromaïdan avait été érigé. L’affaire de l’Ukraine est grave pour ce pays et pour les habitants des 28 payas de l’UE. Avec l’Ukraine, l’Union européenne prouve sa volonté de ne pas respecter les volontés des peuples et de faire régner son influence sur toute la sphère européenne par l’emploi de la terreur. Les divers exemples de mesures mises en place et appliquées ou soutenues, voire tolérées par Bruxelles comme le Hartz IV en Allemagne, qui oblige les citoyens à travailler pour 1 euro ou qui pousse une grande partie de la population à devenir pauvre comme en France avec le RSA, montrent ce qu’est cette Union européenne. Et la petite phrase de George Soros émise durant la conférence de Munich sur la sécurité, « l’Ukraine est aujourd’hui ce que doit devenir demain l’Union européenne », montre clairement ce qui pend au nez des Européens. Aussi ce n’est pas étonnant de connaître la position de l’ambassadrice lettone en France quand elle dit que c’est une chose normale d’avoir 13 % de non citoyens en Lettonie.

Situé au bord de la Volga, ce « Temple de la vérité et de la culture » (Ildar Khanov) est un lieu touristique très important en Russie et aucune véritable cérémonie religieuse ne se déroule en son sein. En effet, pas de prières, mais des guérisons intérieures pour les patients qui choisissent de s’y rendre. C’était la volonté de Ildar Khanov qui se considérait lui-même comme un guérisseur avant tout. Et si ce dernier a choisi de faire sortir de terre ce Temple de toutes les religions, c’est dans le but de lancer un message pacifique de réconciliation au monde : « Religions de tous les pays, unissez-vous pour la paix »?!