
En étudiant la production de cortisol sur le cerveau, l’hormone du stress, les chercheurs à l’université de Loma Linda aux États-Unis ont décidé d’enquêter sur le rire pour savoir si oui ou non il avait un impact destructeur sur le corps.
Comme le montrent les résultats de l’étude, le rire entraîne des changements dans les ondes cérébrales, en particulier dans les ondes gamma; ce qui semble stimuler les processus de rappel des souvenirs.


« Les résultats de notre étude montrent des bénéfices cliniques durables qui pourraient avoir des avantages et certainement trouver leur application chez les personnes âgées », dit le Dr Gurinder Singh Bains, auteur de l’étude.
« Bien que les personnes âgées aient des problèmes de mémoire liés à leur âge, une thérapie complémentaire par l’humour pourrait aider davantage ces patients », conclut l’expert.

Reste à savoir si elle compte accepter l'offre de l'Arabie Saoudite...
Dès le début des discussions en commission parlementaire sur l’aide médicale à mourir, plusieurs intervenants en soins palliatifs se sont élevés contre cette aide. Ils constituent une opposition faible en nombre, mais très vocale et persistante. Les arguments, les témoignages des personnes en fin de vie et les balises précises contenues dans la loi 52 ne les ont pas convaincus. Il y a peu d’espoir que, soudain, ils se rangeront du côté de la majorité des Québécois, y compris les médecins, qui souhaitent cette aide à des conditions bien définies et restreintes.
D’abord, devant cette sortie des opposants, il faut rassurer la population. Les demandes de l’aide à mourir seront rares. Dans les pays où cette possibilité existe, on estime que les décès à la suite de l’aide à mourir représentent environ 2 % des décès totaux. Au Québec, cela signifierait environ 1200 personnes par année. Même si on soustrayait les médecins qui s’opposent à l’aide à mourir, ceux qui ne voudront pas la pratiquer et ceux qui par leur spécialité n’y participeront certainement pas (radiologues ou psychiatres, par exemple), il reste suffisamment de médecins et d’établissements pour suffire à la demande.
Il faut aussi orienter la formation des médecins pour que la relève aux soins palliatifs soit plus à l’écoute des souhaits des mourants. Cette relève devra abandonner ce vieux réflexe paternaliste : « Je sais ce qui est bon pour vous » et respecter les voeux de chaque individu.

Mais la tragédie qui a frappé la Syrie a dissipé toutes les illusions, avec la révélation que les communautés de Palestiniens réfugiés sont en fait extrêmement fragiles et paient très rapidement le prix de toutes les turbulences et crises dans les pays d’accueil. Cela s’est déjà produit au Liban, au Koweït et en Irak.
Si l’Union européenne et la communauté internationale ne traitent pas le coeur de cette question par le rappel et la mise en œuvre du droit légitime des Palestiniens au retour, des milliers d’entre eux continueront à se diriger vers l’Europe et beaucoup vont mourir en route. Laquelle de ces deux possibilités a la préférence de l’UE et du reste du monde ?

Au Congrès, le 8 septembre, les républicains bloqueront l’accord avec l’Iran. Mais Obama peine même à rallier certains démocrates. L’élite des Etats-Unis apparaît très divisée sur la stratégie à adopter. Est-ce nouveau ?
Très opposés aux stratégies de Brzezinski, les néocons guidant George W. Bush proposaient par contre une stratégie de guerre généralisée (qui utilisera le 11 septembre comme justification). Cependant, leur plate-forme du Project for a New American Century (PNAC), élaborée entre 1997 et 2000, n’était guère plus optimiste : « Actuellement, les Etats-Unis ne rencontrent aucun rival mondial. La grande stratégie de l'Amérique doit viser à préserver et étendre cette position avantageuse aussi longtemps que possible (...) Préserver cette situation stratégique désirable dans laquelle les Etats-Unis se trouvent maintenant exige des capacités militaires prédominantes au niveau mondial. ».
Analysant ces deux options à la veille de la présidence Obama, nous écrivions en 2008 : « De toute façon, cet Empire ne deviendra pas pacifique. Tôt ou tard, il relancera des guerres à la Bush. Parce qu'en fait, l'élite US pratique un cycle d'alternance entre les deux options... » Huit ans plus tard, allons-nous assister à une nouvelle alternance ? Pour comprendre la situation, nous allons examiner les différentes pièces du puzzle : Chine, Iran, Russie, Europe…

L'exploitation du gaz de schiste dans l'Ouest canadien aurait causé selon la chaîne CBC un séisme de magnitude 4,4 en 2014.
Un projet de fracturation hydraulique dans l'Ouest canadien est à l'origine l'an dernier d'un des plus importants séismes liés à cette technologie controversée utilisée pour l'exploitation des hydrocarbures de schiste, a annoncé mercredi 26 août la chaîne publique CBC.
Selon la chaîne publique, les activités sur un autre site de Progress Energy dans la région ont dû être temporairement suspendues la semaine dernière, le temps que les autorités puissent déterminer la cause d'un séisme de magnitude 4,6.

Après avoir été de 2009 à 2014 secrétaire général de l’Otan (sous commandement USA), Anders Fogh Rasmussen a été embauché comme consultant international par Goldman Sachs, la plus puissante banque d’affaires étasunienne.
Il a en outre soutenu le « Partenariat transatlantique de commerce et d’investissements (Ttip) » (ou Tafta, ndt) entre Etats-Unis et Ue, base économique d’ « une communauté transatlantique intégrée ».

Sur la base d’une lucide « théorie du chaos », on exploite la situation chaotique provoquée par les guerres contre la Libye et la Syrie, en instrumentant et en canalisant vers l’Italie et la Grèce (pays parmi les plus faibles de l’Ue) le tragique exode des migrants conséquent à ces guerres. Cet exode sert d’arme de guerre psychologique et de pression économique pour démontrer la nécessité d’une « opération humanitaire de paix », visant en réalité l’occupation militaire des zones stratégiquement et économiquement les plus importantes de la Libye. Tout comme l’Otan, Goldman Sachs est fonctionnelle à la stratégie de Washington qui veut une Europe assujettie aux Etats-Unis.
Après avoir contribué avec l’escroquerie des prêts subprimes à provoquer la crise financière, qui depuis les Etats-Unis a investi l’Europe, Goldman Sachs a spéculé sur la crise européenne, en conseillant « aux investisseurs de tirer avantage de la crise financière en Europe » (cf. rapport réservé rendu public par le Wall Street Journal en 2011). Et, selon des enquêtes documentées effectuées en 2010-2012 par Der Spiegel, New York Times, BBC, Bloomberg News, Goldman Sachs a camouflé, par des opérations financières complexes (« prêts cachés » à des conditions assassines et vente de « titres toxiques » étasuniens), le vrai montant de la dette grecque. Dans cette affaire, Goldman Sachs a manœuvré plus habilement que l’Allemagne, la BCE et le FMI, dont le joug mis au cou de la Grèce est évident.
En recrutant Rasmussen, avec le réseau international de rapports politiques et militaires qu’il a tissé dans ses cinq années à l’Otan, Goldman Sachs renforce sa capacité d’influence et de pénétration.
On trouvera dans Le groupe Bilderberg, l’ « élite » du pouvoir mondial, de Domenico Moro (Delga, juin 2015, 19 euros, voir pièce jointe), des éléments présentant et analysant ce « réseau international de rapports politiques et militaires » dont parle M. Dinucci pour A. F. Rasmussen et financiers et économiques pour M. Monti et M. Draghi : tous trois bons exemples du phénomène des « revolving doors » (pantouflage) fonctionnant dans le réseau : « une “personnalité multiple”, professionnellement parlant, c’est-à-dire changeant de rôle et de secteur d’une rencontre à l’autre. (…) véritables “transformistes” de l’élite mondiale, capables de changer d’habit professionnel plusieurs fois en l’espace d’un petit nombre d’années.(…) dans un passage tourbillonnant de la politique nationale à la bureaucratie européenne aux grandes entreprises, à la finance, aux think tanks et à l’université» (p. 203).
Le lecteur trouvera aussi dans l’ouvrage publié aux Editions Delga une Présentation au lecteur français par Bernard Genet (comaguer, comité comprendre et agir contre la guerre) fournissant quelques éléments de l’aspect français (direction, membres et invités) de ces réseaux (Bilderberg et Trilatérale).

Voici quelques citations émanant d’une part, d’un ancien et d’autre part d’un actuel rédacteur en chef des deux plus grandes revues médicales du monde qui sont considérées comme les plus crédibles. Il est donc tout à fait pertinent de les inclure dans l’article puisque ces citations sont directement liées à ce que le Dr Rost explique dans la vidéo.
Il est grand temps de repenser la recherche médicale actuelle et de voir la situation dans son ensemble
Lorsque le Dr Rost travaillait encore pour Pfizer il est apparu quelques fois dans les médias traditionnels. Voici un exemple où il parlait au Wall Street Journal il y a près de 10 ans, avant d’avoir lancé l’alerte.
Vous donnez de l’argent pour des programmes; programmes éducatifs où ils peuvent faire des profits, puis ils mettent en place les programmes qui sont censés être indépendants de la compagnie. Mais si vous avez un programme promotionnel venant d’une compagnie, vous allez probablement donner cet argent aux universités qui font les programmes qui promeuvent vos médicaments. Et ceux qui ne le font pas ou qui les critiquent n’obtiendront rien. Et tout le monde sait bien sûr que c’est ainsi que ça fonctionne. Et cela veut dire que même si vous pouvez officiellement protester « nous leur avons donné une subvention, ils peuvent en faire ce qu’ils veulent », en réalité, ils ne continueront pas à recevoir de l’argent. Tout le monde le sait. Il n’y a que le public qui ne le sache pas. Et c’est ainsi que vous influencez l’institution médicale, tout simplement avec de l’argent.

Voici les informations collectées qui ont pu être identifiées en analysant le trafic réseau d’un ordinateur sous Windows 10 :
oca.telemetry.microsoft.com.nsatc.net
pre.footprintpredict.com
Les numéros de téléphone que vous tapez dans votre navigateur : une simple recherche sur un numéro de téléphone sur Internet déclenche un processus spécifique, transmettant le numéro tapé à une liste particulière de serveurs :
vortex-win.data.microsoft.com
telecommand.telemetry.microsoft.com
telecommand.telemetry.microsoft.com.nsatc.net
oca.telemetry.microsoft.com
oca.telemetry.microsoft.com.nsatc.net
sqm.telemetry.microsoft.com
df.telemetry.microsoft.com
reports.wes.df.telemetry.microsoft.com
cs1.wpc.v0cdn.net
vortex-sandbox.data.microsoft.com
oca.telemetry.microsoft.com
oca.telemetry.microsoft.com.nsatc.net
vortex-sandbox.data.microsoft.com
i1.services.social.microsoft.com
Une raison de plus pour ne pas considérer Windows 10 comme étant un système d’exploitation sûr pour faire vos sextapes privées, et ce même si vous n’avez jamais eu l’intention d’en partager le contenu sur Internet…
oca.telemetry.microsoft.com.nsatc.net
vortex-sandbox.data.microsoft.com
pre.footprintpredict.com
i1.services.social.microsoft.com
i1.services.social.microsoft.com.nsatc.net
telemetry.appex.bing.net
telemetry.urs.microsoft.com
cs1.wpc.v0cdn.net
pre.footprintpredict.com
reports.wes.df.telemetry.microsoft.com
L’étendue des données collectées ici me laisse pantois. Je ne vais pas pouvoir continuer d’utiliser un système d’exploitation Microsoft pour mon usage personnel quand je constate à quel point ce dernier se permet de violer ma vie privée, il va donc falloir que je passe sous Linux. En espérant que la transition se fera en douceur…

Son influence est telle qu’elle en devient une force politique. En février?2013, Eric Schmidt est reçu à l’Élysée par François Hollande avec les honneurs d’un chef d’État. Lors de la conférence de presse, les deux hommes sont côte à côte, d’égal à égal. Pourtant son statut d’entreprise souveraine s’est organisé contre les États, considérés par les dirigeants de Google comme des structures du passé, nocives puisqu’elles freinent la créativité des individus. «?L’État est une machine à protéger tandis que la technologie est fondamentalement perturbatrice?», aime à expliquer Eric Schmidt. «?Ce sont des libertariens, souligne Dominique Cardon. Ils sont persuadés qu’un individu peut changer le monde si on le laisse pleinement et librement exprimer ses capacités et sa créativité, et surtout en écartant l’État et ses règles comme la solidarité et la justice… Ils veulent transformer le monde en exacerbant l’égoïsme matérialiste.?»
Pour Pierre Mounier, chercheur en humanités numériques et auteur d’Homo Numericus, Google se nourrit de nos vies, de nos actions, des contenus que l’on produit pour les monétiser… En ce sens, Google nous appartient. Pour lui, il faudrait que l’on commence à considérer Google, et en particulier son moteur de recherche, comme un bien commun de l’humanité. Pierre Mounier propose que ce soit l’Unesco qui hérite de la gouvernance de ce moteur de recherche, principale source d’accès au savoir et à l’information. «?Le patrimoine mondial est l’héritage du passé, dont nous profitons aujourd’hui et que nous transmettons aux générations à venir?», explique l’Unesco dans sa convention de 1972. Ce patrimoine appartient à tous, et sa définition correspond parfaitement, selon Pierre Mounier, au moteur de Google et au cyberespace qu’il indexe. L’idée séduit Yann Le Pollotec?: «?Google marchandise une certaine forme de communisme, monétise du bien commun, en profitant du fait que le moteur de recherche en est la principale porte d’entrée.?» Il serait peut-être temps de remettre la main sur cette porte d’entrée.
Très bonne nouvelle pour tout le monde. Enfin, les États-Unis ont mis fin à l’embargo américain contre Cuba. Très partiellement faut-il le dire, car plusieurs aspects n’auront pas reçu l’accord du Congrès américain contrôlé par les républicains qui sont contre, pour des fins politiques, l’allègement de l’embargo américain contre Cuba. Faut savoir que les embargos américains contre Cuba, l’Irak et d’autres pays ont tué des milliers de personnes. Alors, quand Barack Obama, le président démocrate des États-Unis, à propos du plus vieil embargo de la planète (plus de 50 ans), dit que cet outil de répression n’a rien donné... aux États-Unis s’entend. Mais il a coûté des milliards de dollars à Cuba et a fait souffrir inutilement des millions de Cubains pendant plus de 50 ans. Si cet embargo avait pour objectif de favoriser la pseudo-démocratie feutrée à l’américaine dans le pays de Fidel Castro, alors pourquoi les États-Unis n’instauraient-ils pas des blocus similaires contre l’Arabie Saoudite, l’Égypte, le Koweit, le Honduras, etc.?
Il faut absolument féliciter et être plein d’admiration pour le peuple cubain qui a tenu tête avec dignité à l’hégémonie du plus puissant pays du monde. Même si, à plusieurs reprises, les dirigeants américains ont essayé, par tous les moyens, comme ils l’ont fait entre autres avec les généraux en Argentine, avec Pinochet au Chili, et avec les contras au Nicaragua, d’assassiner Fidel Castro et de renverser le gouvernement cubain en place en finançant et en armant des contre-révolutionnaires, le peuple cubain a su conserver dignement sa souveraineté. Et malgré l’embargo, Cuba a su développer un des meilleurs systèmes d’éducation et de santé publique au monde. L’espérance de vie des Cubains est aussi élevée que dans les pays développés, son taux d’analphabétisme est largement inférieur au Québec et son taux de mortalité infantile est plus bas que celui des États-Unis. Voilà de véritables faits qui font un peuple et des gens libres. La liberté n’est pas d’aller voter tous les quatre ans pour des partis qui se ressemblent et qui, une fois élus sous de fausses représentations, concoctent une société non souhaitée par la majorité, mais voulue par la minorité dominante. Faut bien l’admettre, Fidel Castro est parmi les plus grands politiciens du vingtième siècle du monde entier, lui qui a sorti le peuple cubain des griffes de l’esclavagisme américain, qui faisait de Cuba, avant 1960, le bordel yankee. Il lui dictait le choix des politiciens, comme le dernier président cubain affranchi, nul autre que Batista.
Si les États-Unis sont vraiment sincères et cohérents, ils vont rendre Guantanamo à Cuba, qui lui appartient de droit, étant situé sur l’île. Voyons donc, Guantanamo a été cédé par bail, pour 100 ans, aux Américains par un président cubain vendu et corrompu afin de supposément protéger Cuba. Le bail est venu à échéance depuis le début des années 2000 et les États-Unis n’ont pas rendu Guantanamo à Cuba. Pourquoi? Bien pire, ils en profitent pour y installer leurs prisons dans lesquelles on pratique la torture à grande échelle sur des gens emprisonnés depuis plus de douze ans sans avoir été jugés. Emprisonnés sur de seuls soupçons. Actuellement, il y a à Guantanamo une centaine de prisonniers «politiques» qui, pour échapper à ce calvaire, font la grève de la faim jusqu’à mourir et que l’on doit alimenter de force par intraveineuse.
L’Amérique du Sud n’est plus le «back-store» des États-Unis et plusieurs pays d’Amérique latine avaient, depuis belle lurette, rétabli leurs relations avec Cuba, contre la volonté des Américains. Même que c’était fini le temps où, lors de réunions de pays d’Amérique, les États-Unis ordonnaient l’exclusion de Cuba. Certains pays voulaient plutôt exclure les States de ces rencontres ou les boycottaient tout simplement en raison de l’absence de Cuba. Oui, les États-Unis sont encore le plus puissant pays du monde du point de vue militaire, mais sur le plan économique il y a aujourd’hui d’importants contrepoids comme le Brésil, l’Inde, la Russie, la Chine, etc.
Disons que, malgré l’embargo, plusieurs produits américains étaient présents sur l’île. La fin de leur abject embargo sera bénéfique aux entreprises américaines à qui ce marché en croissance de onze millions d’habitants échappait, au profit d’entreprises chinoises, européennes (comme Nestlé, Peugeot, etc.), brésiliennes (comme Inbev), russes, etc. Au développement économique avec d’autres pays se soudent des relations politiques et sociales. Puis, Cuba est un pays qui a de plus en plus d’influence en Amérique latine et cela dérangeait les Américains. Il est donc préférable, pour les États-Unis, de mettre fin à l’embargo afin de ralentir la montée de l’influence cubaine en Amérique latine et dans le monde.
L’embargo américain a aussi forcé Cuba à développer sa propre industrie pharmaceutique, aujourd’hui florissante, ce qui énerve les multinationales américaines qui ne veulent pas voir les médicaments cubains, moins chers, envahir «leur» marché aux États-Unis. Plusieurs puissants lobbies économiques qui financent les partis politiques américains à coups de milliards de dollars chaque année ont donc dicté une ligne de conduite à respecter par Barack Obama, en termes d’ouverture, afin de ne pas faire prendre conscience au peuple américain et au monde entier des succès économiques et sociaux du peuple cubain, un peuple qui jouit d’une main-d’œuvre très bien formée dans tous les domaines et d’une excellente culture générale.



En 1994, le régime Clinton a arrêté de compter les travailleurs découragés à long terme comme chômeurs. Clinton voulait que son économie paraisse meilleure à regarder que celle de Reagan, donc il a cessé de recenser les travailleurs découragés qui faisaient partie du taux de chômage de Reagan. John Williams (shadowstats.com) continue de mesurer le taux de chômage à long terme selon la méthodologie officielle de cette époque. On peut ainsi constater que quand ces chômeurs sont inclus, le taux de chômage des États-Unis en juillet 2015 est de 23%, plusieurs fois plus élevé que lors de la récession que le président de la Fed Paul Volcker avait offerte à la présidence Reagan.
Au cours de l’année précédente (juillet 2014 – juillet 2015), la tranche d’âge 55 et plus a gagné 1 554 000 emplois et les classes jeunes, 16-18 et 20-24, ont perdu respectivement 887 000 et 489 000 emplois.
En juillet 2015, les États-Unis avaient 27 265 000 personnes occupant un emploi à temps partiel, dont 6,3 millions, soit 23%, parce qu’ils ne peuvent pas trouver un emploi à temps plein. Il y a 7 124 000 Américains qui détiennent plusieurs emplois à temps partiel pour joindre les deux bouts, soit une augmentation de 337 000 en un an.
Les emplois les plus lucratifs en Amérique concernent ceux qui fabriquent les escroqueries de Wall Street, ceux qui font du lobbying pour des groupes d’intérêts privés, où l’on embauche de préférence d’anciens membres de la Chambre, du Sénat, et de l’Exécutif, et enfin ceux qui montent des programmes pour aider les donateurs des think tanks à s’enrichir, en faisant passer ces programmes pour des politique publiques, qui peuvent devenir des lois.
Les emplois salariés déclarés pour juillet sont dans les catégories habituelles qui nous sont familières, mois après mois, et année après année. Ce sont les emplois de services domestiques divers, serveuses et barman, vendeurs au détail, transports, entreposage, finance et assurances, soins de santé et assistance sociale. Rien à l’exportation afin de payer nos importations massives. Avec une maigre croissance du revenu réel médian des familles, alors que l’épargne dégringole et que le crédit s’épuise, même la partie consommation de l’économie va fléchir.
Si j’étais encore l’éditeur du Wall Street Journal que je fus, l’état déplorable de l’économie américaine serait en première page des nouvelles.

Quand le Rideau de fer est tombé, il avait été entendu qu’en contrepartie de l’acceptation par la Russie de la réunification de l’Allemagne au sein de l’OTAN, il n’y aurait pas d’expansion de l’OTAN vers l’Est du continent européen. Ceux qui comptaient qu’une Europe fondée sur la stabilité et la coopération se mette en place après la guerre froide entendaient que les pays disposant d’économies industrielles susceptibles de devenir puissantes, tels que la Tchécoslovaquie et la Pologne, et également l’Ukraine, après la dissolution de l’Union Soviétique en 1991, puissent jouer le rôle de pont entre l’Union Européenne et un bloc économique eurasiatique émergent.
Le déploiement de ce système ABM américain est aujourd’hui bien avancé en Roumanie et en Pologne, et les trois premiers navires de guerre porteurs du système de défense anti-missiles AEGIS sont déjà opérationnels et ont procédé à des manœuvres en Mer Noire et dans la Mer Baltique, aux frontières des eaux territoriales russes.
Nous-autres, signataires de cet Appel, exigeons qu’on mette immédiatement un terme à la confrontation engagée contre la Russie et la Chine et que l’on revienne au recours à des solutions politiques à tous les conflits.

Mais comment savons-nous que ce monolithe préhistorique est vraiment vieux de 10 000 ans? Malheureusement aucun artefact n’a été trouvé avec la roche, qui permettrait de le dater avec certitude. Au lieu de cela les découvreurs ont dû compter sur l’estimation des niveaux de la mer quand ils auraient submergé le site. Ce qui leur fait dire qu’il doit être au moins aussi vieux, ou même beaucoup plus âgé. Or nos données sur le niveau des mers sont sans doute imparfaites, ce qui fait que la date donnée est à prendre avec les précautions d’usage.
Pourtant, qu’il ait réellement 10 000 ans ou davantage, ce monolithe est important. Pourquoi ? Eh bien, car cela suppose une population assez conséquente, qui a été probablement nécessaire pour déplacer un tel morceau de roche. Or, il est plutôt difficile pour les grandes populations de se maintenir pendant des périodes prolongées avec un seul mode de vie de chasseurs-cueilleurs. Cela suppose de l’agriculture et des villes. Donc, le fait que cet endroit a été en mesure d’avoir tous ces gens vivant ensemble depuis aussi longtemps pourrait suggérer qu’ils étaient déjà en train de se déplacer vers notre mode de vie moderne.

Par ailleurs, des hackers sont entrés dans le système informatique de Planned Parenthood pour évacuer les vidéos et correspondances compromettantes. Trop tard ! Pour se défendre, cette organisation a même contrefait un extrait des gaffes présentées par le film « Les Minions » pour stigmatiser ceux qui avaient diffusé la vidéo.
La suite nous réserve sans doute de nouvelles surprises.

Analysant les “murs” personnels d’un échantillon de 460 000 utilisateurs anonymes pendant 200 jours – les 100 jours précédents l’officialisation, lorsque chacun a le statut “célibataire”, puis les 100 jours suivants le changement de statut à “en couple”, le site de Mark Zuckerberg a ainsi pu en déduire les tendances suivantes.

Se mettre en couple entraîne une augmentation de messages et d’émotions positives sur le réseau social

Moralité, si vous ne voulez pas que Facebook sache où vous en êtes dans votre vie sentimentale, écrivez-plutôt des lettres.

La faille menace pratiquement tous les utilisateurs de téléphones portables sur Android. Le nombre de smartphones et de tablettes potentiellement infectés pourrait dépasser le milliard d'appareils.
Selon les journalistes, le problème en question a été découvert dans un composant d'Android, Stagefright, destiné à l'affichage de photos et de vidéos. Il est à noter que de l'anglais, "stage fright" se traduit comme "trac".
"Cela pourrait se produire avant que vous n'entendiez la notification sonore. C'est précisément ce qui rend cette faille si dangereuse. L'infection peut avoir lieu dans le silence le plus total. Vous n'en saurez rien", souligne Joshua Drake.
Zimperium compte dévoiler les détails de cette faille pendant la conférence BlackHat 2015 qui se tiendra début août à Las Vegas. Le principal danger de cette brèche est que la victime ignore qu'elle a été infectée: le virus efface immédiatement le MMS reçu sur le smartphone et l'utilisateur ne le voit plus. De plus, dans certains smartphones, le virus empêche la notification de s'afficher à l'écran et se trouve ainsi dans le système sans avoir été vu.




Photo: Sean Kilpatrick La Presse canadienneLes nouvelles sections de vote, moins bloquistes et plus libérales, joueront certainement contre Maria Mourani.
La Constitution du Canada impose au parlement fédéral une révision de la délimitation des circonscriptions tous les dix ans, correspondant à chaque administration du recensement. Le dernier redécoupage ayant eu lieu en 2003, il était nécessaire de répéter l’exercice afin qu’une nouvelle carte soit en vigueur pour l’élection de 2015. Les changements observés prennent cependant des ampleurs différentes selon les régions du pays.
Les nouveautés qui seront en vigueur pour (au minimum) les dix prochaines années font en sorte que le parlement passe de 308 à 338 sièges. Sur ces 30 sièges supplémentaires, le Québec en obtient trois — pour un total de 10 % des nouveaux sièges, ce qui attise plusieurs critiques dans la province. Mais au-delà de cet ajout, la réforme modifie les délimitations de plusieurs autres circonscriptions. Je propose que ces modifications sont majeures dans bien des cas et j’en détaille ici les conséquences afin d’en démontrer l’importance tant dans les comtés déjà existants que dans les nouvelles circonscriptions.
Deux transfuges retiennent l’attention dans cette course toute montréalaise : Maria Mourani, élue sous la bannière du Bloc québécois et se représentant désormais pour le NPD, et Mélanie Joly, qui a quitté son parti municipal pour joindre l’équipe libérale. À première vue, Maria Mourani a toutes les raisons de croire qu’elle est en avance : son parti est en tête dans les sondages et elle a réussi à consolider un certain vote personnel depuis 2006. Or, deux obstacles pourraient venir brouiller les cartes : la refonte de la carte électorale et les ressources de Mélanie Joly, présumant que cette dernière gagne son investiture.
D’une part, le redécoupage de la circonscription disperse en partie l’avantage du vote personnel dont bénéficie la candidate sortante. En effet, les nouvelles sections de vote, moins bloquistes et plus libérales, joueront certainement contre Mme Mourani, qui a critiqué à maintes reprises le recoupage de sa circonscription.
D’autre part, Mélanie Joly possède une banque de données de 2013 provenant de son parti municipal « Vrai changement » — le slogan actuel du Parti libéral du Canada. En ciblant les électeurs dans les nouvelles limites géographiques du comté, ces données sont extrêmement utiles pour cibler ses sympathisants. Autrement dit, une partie de son pointage, essentiel à la sortie de vote, est déjà faite. Quant au candidat bloquiste, qui s’appropriera certainement une partie de vote souverainiste, mobilisé de surcroît contre Mourani, qui a été expulsée de leur parti, il vient ajouter une autre dose d’incertitude.
Dans Montarville
Ce nouveau comté de la Rive-Sud de Montréal a comme candidate sortante Djaouida Sellah, élue sous la bannière du NPD dans l’ancien comté Saint-Bruno–Saint-Hubert. Sa principale adversaire est la candidate du Bloc québécois Catherine Fournier. Avec la réforme de la carte électorale, la ville de Sainte-Julie y est désormais intégrée dans sa totalité. Ce sont des électeurs qui ont eu Sana Hassainia, la députée fantôme du NPD (jusqu’en 2014) qui a fait les manchettes et que les citoyens ont fort probablement encore en mémoire. De plus, les trois quarts de l’arrondissement de Saint-Hubert ne font plus partie du comté, ce qui désavantagera Sellah, puisqu’on y retrouvait une majorité de votes NPD. Autrement dit, la candidate sortante se retrouve avec une nouvelle ville assez souverainiste (Sainte-Julie) et perd une bonne partie d’une ville assez fédéraliste.
À l’inverse de Sellah, la candidate bloquiste est un élément que son parti voudra certainement mettre à l’avant-plan puisqu’elle incarne, comme jeune femme, l’étiquette que le parti recherche : le renouveau. En entrevue avec Marco Fortier du Devoir, la candidate affirme passer 50 heures par semaine sur le terrain — et ce, depuis 13 mois ! Montarville est parmi les comtés les plus prenables pour le Bloc québécois, de par les caractéristiques sociodémographiques de ses électeurs, mais l’est d’autant plus avec la présence de cette candidate. Finalement, une remontée libérale (aussi modeste soit-elle) diviserait le vote fédéraliste au profit de Fournier. Toutefois, rien n’est joué : le militantisme local a ses limites et Sellah pourrait bien être réélue si l’écart entre le NPD et le Bloc se maintient dans les sondages nationaux.

«Au plan des principes, le contrôle de constitutionnalité affecte donc la démocratie et tend à lui substituer une nomocratie» – Jean Gicquel
En validant la loi renseignement, le Conseil Constitutionnel révèle que les contre-pouvoirs dans ce pays ne relèvent que du fantasme. De la pure mythologie. Historiquement, les normes constitutionnelles n’ont jamais empêché les gouvernements de s’octroyer toujours plus de pouvoir sur nos vies. Cette énonciation ne vaut pas que pour la France. Si l’on regarde à l’extérieur des frontières hexagonales, les États-Unis sont probablement l’exemple paradigmatique de cette triste réalité. Triste mais peu surprenante en théorie. Après tout, comment une Constitution pourrait-elle garantir la liberté individuelle face à l’arbitraire du monopole de la violence légale quand celle-ci est justement écrite par le pouvoir politique qu’elle prétend limiter ? En définitive, le constitutionnalisme est devenu une vulgaire caution pour fabriquer notre consentement à la domination gouvernementale. Il est, au même titre que la démocratie, destiné à entretenir l’illusion du contrôle d’une machine dont l’action échappe en réalité à la volonté de ceux qui la subissent. Le plus inquiétant tient à ce que tout cela semble fonctionner à merveille puisque ces ingérences mafieuses dans nos vies privées ne semblent pas indigner la population. L’autoritarisme est devenu la norme et la liberté l’exception.

Oui, vous avez bien lu, l’Arabie Saoudite dicte ses volontés sur le sol français, au mépris du droit des Français.
« La plage publique devrait être totalement interdite au public le temps du séjour de la famille royale »
Le diktat saoudien pourrait aller plus loin encore. La préfecture doit décider en commun accord avec les représentants saoudiens si la sécurité sera assurée « par des vigiles privés ou des policiers » et si les ouvriers engagés par les Saoudiens auront droit de placer « des grillages ou non », « et à quel moment nous pourrons restituer au public, le plus vite possible, cet espace », a précisé M. Castanet.

Après le retrait des manifestants antigouvernementaux, les mesures de sécurité ont été renforcées à l'ambassade.
Plus de 100 personnes ont trouvé la mort dans les protestations à Kiev et dans d'autres villes du pays.
Québec, fier joyau de l’Amérique et berceau de la francophonie. Aussi vieille que belle, ma ville regorge de beautés, de secrets bien gardés et d’une histoire riche qui se découvre en la parcourant.
Elle a conservé tout son charme à travers le temps et les bombardements ; même qu’elle a su s’embellir d’une fontaine. Quel plaisir renouvelé de parcourir la place Royale, où Champlain bâtit la première habitation ! J’affectionne particulièrement le Vieux-Québec, une exposition à ciel ouvert, pour y observer son architecture, ses portes, ses boutiques, les restaurants et surtout les gens souriants qui défilent comme un long fleuve social. Dans les petites rues étroites, des secrets et des vérités se révèlent à notre curiosité à travers ses méandres.
La place D’Youville, le coeur de la ville, bordée par le Palais Montcalm, la porte Saint-Jean et le Capitole, nous présente un charme incomparable digne d’une carte postale. Les plaines D’Abraham, ce grand parc urbain de style victorien, nous proposent un espace vert où il fait bon s’arrêter pour pratiquer le farniente et même voir un spectacle. Les charmes indéniables de la Haute-Ville et de la Basse-Ville valent incontestablement le détour, tout comme ses multiples quartiers attachants, chaleureux et colorés. La Grande Allée, rue majestueuse et prestigieuse aux multiples terrasses, nous offre un détour vers la colline parlementaire. Que dire de l’auguste Château Frontenac, bien campé sur le cap Diamant, et de sa terrasse Dufferin, tel un tableau classique d’un grand maître ?
Principale carte postale de la ville, cet endroit si invitant nous présente le fleuve, là où l’histoire fit son entrée, dans toute sa beauté devant un panorama bucolique au caractère unique. Elle a tant à dire et à dévoiler, ma ville. Elle me gave de satisfaction dans la joie, mon coeur bat la chamade sous une pluie d’étoiles.
Québec, tu es mienne. Je t’aime.

Ceci fait de la vérité un ennemi. Des ennemis doivent être supprimés, donc la vérité doit être supprimée.
Ainsi, Washington et ses vassaux sont occupés à travailler d’arrache-pied pour fermer les médias indépendants.
La propagande est vérité si elle est dite par Washington et ses marionnettes, comme l’European Union Observer.
L’EU Observer, suivant les ordres de Washington sans aucun doute, a dénoncé les organes de presse RT et Sputnik News (NdT: Nouvel organe de presse russe combinant les sites de RIA Novosti et de la Voix de la Russie…) pour “diffuser des fabrications et un discours de haine depuis leurs bureaux directeurs sis dans les grandes villes de l’UE”.
Je donne souvent des entretiens à la fois sur RT et sur Sputnik News. A mon avis, ces deux organes sont trop timides dans leur reportage, de peur sans aucun doute, d’être fermés, leur auto-restriction ne correspond pas à ce dont a besoin la vérité. Je n’ ai jamais entendu un mot de haine ou de propagande sur aucun de ces organes de presse. La propagande de Washington sans aucun doute oui, mais pas celle du gouvernement de la Russie.
Un bon pourcentage de ces personnes insouciantes croient que la Russie a envahi l’Ukraine et que la Russie menace d’envahir les états de la Mer Baltique et la Pologne. Cette croyance existe malgré toute l’information de renseignement de tous les gouvernements occidentaux diffusée, rapportant qu’il n’y a aucun signe de quelques forces militaires russes que ce soient dans les environs, forces qui seraient requises et nécessaires pour une telle invasion.
La guerre est le seul résultat possible de la propagande faite pour la guerre. Lorsque les merdias occidentaux irresponsables amènent l’armaguédon sur vous, vous pouvez remercier le New York Times et toute la pressetituée pour votre destruction, celle de tous vos espoirs pour vous et vos enfants.
L’UE Observer a attaqué de manière irresponsable Sputnik News et RT, deux sources de réputation pour l’information et l’analyse, qui ont une vue diamétralement opposée à la propagande médiatique occidentale.
Il a produit un “plan d’action” de neuf pages qui a pour intention de faire passer des messages “positifs”. Il va augmenter le financement pour que la vision de l’Europe retentisse plus profondément et plus efficacement.
Les gens veulent des sources d’information sûres, l’info et l’analyse ne sont pas fournies par les merdias de masse occidentaux qui ne font qu’utiliser des propagandistes déguisés en journalistes.”
Nous voici entre les deux fêtes, entre le Québec et le Canada. Deux fêtes nationales qui se suivent, dans le même pays, et qui pour beaucoup s’opposent, ce doit être un phénomène assez rare. Bon moment, en tout cas, pour réfléchir à ses allégeances.
Ces temps-ci, les souverainistes, dont je suis, reçoivent maints appels du pied pour marcher sur leur conviction la plus profonde et se rallier au NPD à l’élection d’octobre. C’est qu’il y a un monstre à abattre. Il faudrait mettre fin au régime Harper pour mille raisons, voire pour « sauver des vies », comme l’a dit un imbécile quelconque. Et c’est vrai que pour beaucoup, dont moi, Harper est détestable et qu’on peut ressentir une certaine urgence à l’évincer. Soit.
Mais pourquoi cette urgence devrait-elle être ressentie plus intensément par les souverainistes que par les autres Canadiens ? Il y a deux grands partis fédéraux qui s’opposent à Harper. Grosso modo, l’un est de centre droit, l’autre de centre gauche. Ensemble, ils ne feraient qu’une bouchée des conservateurs. Pourquoi n’ont-ils pas accordé leurs violons ? Pourquoi ne se sont-ils pas unis ? Ils ont eu le temps de le faire, depuis presque dix ans que Harper se faufile entre les deux. Entre le centre gauche et le centre droit, la distance n’est pas infranchissable, et elle est infiniment plus petite qu’entre souverainisme et fédéralisme. Historiquement, d’ailleurs, les échanges ont été nombreux entre le NPD et le PLQ. S’il y a telle urgence à battre Harper qu’il faille mettre de côté ses convictions pour y parvenir, telle urgence ne justifie-t-elle pas au premier chef que l’on oublie ses ambitions personnelles et partisanes ?
Il semble que non. Il semble que pour le NPD et le PLQ, la priorité ne soit pas de battre Harper, mais de gagner leur élection à eux. La lutte étant serrée, le NPD, en particulier, sollicite le vote des souverainistes. C’est assez fort de café ! Ce serait à nous, souverainistes, de sauver le Canada du pétrin dans lequel l’égoïsme partisan des partis fédéraux l’a foutu ?
Pour ma part, je ne suis pas si bête. Au-delà des intentions secondaires, un vote pour un fédéraliste, qu’il s’appelle Hans Marotte ou Alexandre Boulerice, demeure un vote pour le fédéralisme. Et je ne vais pas voter pour le fédéralisme, puisque je n’y crois pas.
Si Harper est réélu, ce sera par votre seule faute, néodémocrates, libéraux, et même verts. Si jamais vous essayez de me faire porter la responsabilité du résultat, je vous répondrai en dressant le majeur, le gauche ou le droit, selon votre préférence.

Un habitant menacé d’expulsion par la banque vient négocier ses dettes… accompagné d’une dizaine de personnes. C’est une des méthodes de la Plateforme des victimes des hypothèques. Ces groupes locaux ont essaimé partout en Espagne, résistant collectivement à la vague d’expulsions : un exemple… inspirant.
Il y a des jeunes militants à la barbe longue, des quarantenaires qui sortent du boulot, des retraités bien apprêtés. Tous les lundis soirs, ils se retrouvent pour « l’assemblée logement ». Ensemble, ils forment l’un des groupes locaux de la Plateforme des victimes des hypothèques. En espagnol, Plataforma de los afectados por las hypotecas, ou PAH.
Autres cas, celui de ce retraité qui a cessé de payer son loyer il y a trois ans « à cause de problèmes familiaux ». Un jour, il reçoit l’avis d’expulsion : « J’étais désespéré, je croyais que j’allais rester à la rue. Quelqu’un m’a dit qu’il y avait cette assemblée, ils m’ont aidé. » Sa dette a été rééchelonnée, il a pu rester chez lui.


La PAH apporte une réponse à une urgence sociale. Désormais, les statistiques des expulsions rythment l’actualité de la même façon que les chiffres du chômage. Plus de 100.000 en 2012, année record, 67.000 en 2013 puis 68.000 en 2014… La majorité de ces expulsions arrivent à des familles qui ne peuvent plus payer leur loyer ou leur hypothèque. Au plus fort de la crise, on comptait plus de 500 expulsions par jour.

Anna, elle, vient depuis deux mois. « Ils m’ont coupé l’électricité en 2012, on s’est rebranchés au réseau avant le compteur… Aujourd’hui, la compagnie d’électricité me demande 5000 euros. J’ai essayé de négocier, ils ont dit que c’était impossible, alors on a fait une action chez eux. Maintenant, je rembourse 20 euros par mois. »
« Je vois à nouveau la lumière, aujourd’hui je n’ai plus peur », conclut-elle.


John Leere, le chef biochimiste de Monsanto, croit qu’une fourmi génétiquement modifiée pourrait éventuellement remplacer les abeilles, en cas d’effondrement des colonies de l’espèce.
Selon une récente étude de Greenpeace, 70% des cultures humaines, qui fournissent environ 90 pour cent de l’apport alimentaire dans le monde, sont pollinisées par des abeilles. La National Statistics Agriculture des États-Unis présentent un déclin des abeilles d’environ 3,2 millions de ruches en 1947 pour atteindre 2,400,000 de ruches en 2008, soit une réduction de 25%.
En tacticien habile, Stephen Harper n’a cessé ces dernières années de rechercher une réforme du Sénat pour tenter de le contrôler. Mais en vérité, le gouvernement ne devrait pas pouvoir contrôler le Sénat. C’est plutôt l’inverse qui devrait se produire, le cas échéant.
Il faudrait toutefois apporter au Sénat une réforme qui lui assignerait un rôle premier de gardien de l’intérêt public face à des gouvernements arrogants et autoritaires ou même dictatoriaux sans opposition sérieuse.
Pour que cela soit possible, il faudrait que les membres du Sénat soient libres de tout lobby ou parti politique et qu’ils soient nommés indépendamment du gouvernement en place. Leur maturité, leur expérience et leur attachement à la défense de l’intérêt public et des valeurs fondamentales dans les lois, règlements et politiques gouvernementales devraient constituer les critères essentiels pour leur nomination.
Le Sénat devrait par ailleurs disposer des moyens adéquats et suffisants pour assumer ses responsabilités. Celles-ci pourraient même inclure celle de susciter des débats publics non partisans sur des questions de principe et d’orientation qui dépassent les questions de pain et de beurre et les opérations gouvernementales à court terme. Comme conseil d’État, le Sénat pourrait ainsi dans une certaine mesure faire contrepoids à la Chambre des communes dont le premier ministre détient effectivement des pouvoirs plus étendus que ceux du président des États-Unis (c’est-à-dire exécutif, législatif et pouvoir de nomination aux postes clés du domaine public).
En complément de cette réforme, la Couronne, qui est la représentation de la communauté souveraine des citoyens et de l’intérêt public, de britannique qu’elle est présentement, devrait devenir canadienne et son représentant non partisan être élu chef de l’État par l’ensemble de la population.
J’ai envoyé récemment un texte au Devoir dans lequel je proposais que les Québécois votent libéral pour battre Harper. Mon texte n’a pas été publié. Peut-être ce texte, après tout, n’était-il pas bon ; peut-être ma position a-t-elle paru trop scandaleuse : voter Justin Trudeau, oh horreur ! Peut-être aussi mon choix a-t-il paru aller trop à contre-courant et être irréaliste, puisque les Québécois ont appuyé le NPD en 2011 et s’apprêteraient à faire de même en 2015. Pour moi, libéral ou NPD, cela importe peu, l’important étant de nous défaire de Harper. Et je croyais au moment d’écrire mon texte que les libéraux avaient de meilleures chances d’y parvenir que le NPD, ce qui serait maintenant loin d’être sûr.
Mais voter pour le Bloc québécois, comme le propose Denis Monière, m’apparaît comme la dernière chose à faire. Bien sûr que les partis fédéraux sont fédéralistes, comme le pape est catholique, mais l’indépendance du Québec, si elle doit se faire, se fera à Québec, pas à Ottawa. « Choisir le Bloc, écrit Monière, c’est affirmer la spécificité québécoise et renforcer la voix de la nation québécoise. C’est refuser de se soumettre à la volonté du Canada. » Ce ne sont là que des mots, rien que des mots. Voter pour le Bloc équivaut à s’abstenir, c’est laisser le reste du Canada choisir un gouvernement que nous aurons à subir nous aussi, Québécois, tant et aussi longtemps que nous ferons partie du Canada.

Il est également important de se rappeler qu’elles émettent beaucoup de rayons UV. Les lampes à économie d’énergie émettent des UV-B et des traces de radiations UV-C. Les radiations UV sont nocives pour la peau et les yeux et attaque directement le système immunitaire. Donc, ma suggestion est de revenir aux ampoules à incandescence et vous épargner beaucoup d’ennuis!

Le diméthylpolysiloxane est ajouté pour des raisons de sécurité, afin d’éviter que l’huile de cuisson ne mousse.
Ils sont ensuite propulsés à plus de 110 km/h à travers une grille de découpe qui leur donne leur forme de bâtonnets.
On ajoute également ensuite du pyrophosphate de sodium pour éviter que les frites ne deviennent grises.
Et pour finir, on les asperge de sel pour en rehausser le goût.
Elles sont alors congelées et convoyées dans les nombreux McDonalds à travers le pays.
Une fois dans les restaurants, les bâtonnets de pommes de terre sont frits une deuxième fois.
Selon McDo France, la composition des frites vendues dans les restaurants de l’Hexagone serait différente de celle des Etats-Unis et plus “naturelle”. C’est souhaitable en effet…
Bon appétit !

L’action, d’abord rapportée ce week-end par le New York Times, a été confirmée dimanche par le Ministère de la Défense polonais, selon lequel Washington négocie avec Varsovie un plan pour déployer des armes lourdes sur le sol polonais. Le ministre de la Défense Tomasz Siemoniak a indiqué qu’il avait discuté du plan en mai avec des responsables militaires à Washington, et qu’on lui avait dit qu’une décision serait prise bientôt.
L’OTAN effectue déjà des exercices militaires tout au long de la frontière occidentale de la Russie, de l’océan Arctique aux mers Baltique et Noire. L’OTAN développe une force de réaction rapide conçue pour intervenir contre la Russie en quelques jours. Des dizaines d’incidents entre des avions et des navires russes et de l’OTAN ont déjà eu lieu.
En même temps, Washington et ses alliés de l’OTAN financent et arment un régime d’ultra-droite et farouchement anti-russe à Kiev qui mène une guerre civile sanglante contre les régions russophones d’Ukraine orientale.
Ces garanties comprenaient un engagement que l’OTAN ne stationnerait pas de troupes à l’intérieur de l’ancienne sphère d’influence soviétique. Selon le Times, «L’accord dit aussi que ‘l’OTAN et la Russie ne se considèrent pas comme des adversaires’. Beaucoup de membres de l’alliance soutiennent que les actions russes de plus en plus agressives autour des frontières de l’OTAN rendent en réalité ce pacte discutable ».
L’OTAN s’est étendu vers l’est pour englober les anciens pays du Pacte de Varsovie et les anciennes républiques soviétiques baltes. Il y a une série d’action agressives, dont la première guerre du Golfe (1991) contre l’Irak, l’éclatement de la Yougoslavie et la guerre contre la Serbie (1999), les «révolutions de couleur » en Géorgie et en Ukraine (2003-2004), l’attaque géorgienne sur les forces russes (2008), les sanctions et les menaces de guerre contre l’Iran, et la guerre civile soutenue par Washington contre le régime syrien.
Nicolet

Ce document est destiné à vous familiariser avec les protocoles de
communication entre les PC, on parle souvent de la configuration de nos
PC ou des logiciels, mais comment mon PC communique avec celui de mon
voisin ?
Dans cet article, nous allons parler de TCP/IP -UDP- DNS- URL
Ces
abréviations reviennent souvent et sont du “charabia” pour le commun des
internautes. La connaissance du système de protocole TCP/IP n’est pas
essentielle pour un simple utilisateur, toutefois, sa connaissance est
intéressante pour mieux comprendre les problèmes liés au réseau ou les
problèmes de sécurité sur Internet.
Pour
les pros du réseau, je ne parlerai pas des cas particuliers, des
adresses IP avec les classes ou autres pour éviter d’embrouiller les
lecteurs…
Il représente la façon dont les ordinateurs communiquent sur Internet.
Pour cela il se base sur l’adressage IP, c’est-à-dire le fait de fournir une adresse IP à chaque machine du réseau afin de pouvoir acheminer des paquets de données. Etant donné que la suite de protocoles TCP/IP a été créée à l’origine dans un but militaire, elle doit répondre à un certain nombre de critères parmi lesquels :
– fractionnement des messages en paquets
– utilisation d’un système d’adresses
– acheminement des données sur le réseau (routage)
TCP/IP est un modèle en couches. Le modèle TCP/IP s’inspire du modèle OSI, (nous en reparlerons un peu plus bas dans l’article).
Assez de théorie, passons à la pratique, Nous allons commencer par comprendre le protocole IP
IP signifie Internet Protocol: littéralement “le protocole d’Internet“. C’est le principal protocole utilisé sur Internet.
Internet signifie Inter-Networks, c’est à dire “entre réseaux“. Internet est l’interconnexion des réseaux de la planète.
Quand vous voulez envoyer une lettre par la poste :
– vous placez votre lettre dans une enveloppe,
– sur le recto vous inscrivez l’adresse du destinataire,
– au dos, vous écrivez l’adresse de l’expéditeur (la vôtre).
Chaque message ou plutôt (chaque petit paquet de données) est enveloppé par IP qui lui ajoute diverses informations :
– l’adresse de l’expéditeur ( votre adresse IP),
– l’adresse IP du destinataire,
L’adresse IP est une adresse unique attribuée à
chaque ordinateur connecté sur Internet (c’est à dire qu’il n’existe pas
sur Internet deux ordinateurs ayant la même adresse IP).
De
même, l’adresse postale (nom, prénom, rue, numéro, code postal et
ville) permet d’identifier de manière unique un destinataire.
L’adresse IP se présente le plus souvent sous forme de 4 nombres (entre 0 et 255) séparés par des points.
Par exemple: 204.35.129.3
Pour envoyer votre lettre, vous la postez dans la boîte-aux-lettre la plus proche. Ce courrier est relevé, envoyé au centre de tri de votre ville, puis transmis à d’autres centres de tri jusqu’à atteindre le destinataire.
Vous déposez le paquet IP sur l’ordinateur le plus proche (celui de votre fournisseur d’accès en général FAI). Le paquet IP va transiter d’ordinateur en ordinateur jusqu’à atteindre le bon destinataire.
Avec IP, nous avons de quoi envoyer et recevoir des paquets de données d’un ordinateur à l’autre.
Imaginons maintenant que nous ayons plusieurs programmes qui fonctionnent en même temps sur le même ordinateur:
– un navigateur,
– un logiciel d’email
– un logiciel pour écouter la radio sur Internet.
Si l’ordinateur reçoit un paquet IP, comment savoir à quel logiciel donner ce paquet IP ?
On pourrait attribuer un numéro unique à chaque logiciel dans l’ordinateur.
C’est en partie vrai, certains ports qui vont de 1 à 65535 sont attribués d’office à certains types de logiciels.
En règle générale, tous les ports inférieurs à 1024 sont des ports serveurs et les autres sont des ports clients.
Il suffit alors de mettre ce numéro dans chaque paquet IP pour pouvoir s’adresser à tel ou tel logiciel.

– Les PORTS, c’est souvent par là que les problèmes arrivent sur votre PC, les Trojans entrent en principe par ces ports non fermés pendant votre connexion sur Internet.
C’est un protocole non orienté connexion dont le contrôle d’erreur est archaïque.
IP s’occupe des adresses IP et le protocole UDP s’occupe des ports.
Avec le protocole IP on pouvait envoyer des données d’un ordinateur A à un ordinateur B.

Avec UDP/IP, on peut être plus précis:
– on envoie des données d’une application X sur l’ordinateur A vers une application Y sur l’ordinateur B.
Les informations de IP vont permettre d’acheminer le paquet à destination du bon ordinateur. Une fois arrivé à l’ordinateur en question, la couche UDP va délivrer le paquet au bon logiciel (ici: au serveur HTTP).
– Les deux logiciels se contentent d’émettre et de recevoir des données (“Hello !”). Les couches UDP et IP en dessous s’occupent de tout.
Ce couple (208.26.195.4, 213.7.124.12:80) est appelé un socket. Un socket identifie de façon unique une communication entre deux logiciels.
C’est un protocole orienté connexion qui assure le contrôle des erreurs
Donc, on peut maintenant faire communiquer 2 logiciels situés sur des ordinateurs différents.
– Même si le paquet arrive à
destination, rien ne vous permet de savoir si le paquet est bien arrivé
(aucun accusé de réception).
Comment faire pour envoyer la photo JPEG de sa copine qui fait 88 000 octets ? (la photo… pas la copine).
C’est pour cela qu’a été conçu le protocole TCP.
– de faire tout ce que UDP sait faire (ports).
– de vérifier que le destinataire est prêt à recevoir les données.
– de découper les gros paquets de données en paquets plus petits pour que IP les accepte
–
de numéroter les paquets, et à la réception de vérifier qu’ils sont
tous bien arrivés, de redemander les paquets manquants et de les
réassembler avant de les donner aux logiciels. Des accusés de réception
sont envoyés pour prévenir l’expéditeur que les données sont bien
arrivées.
Par exemple, pour envoyer le message “Salut, comment ça va ?”, voilà ce que fait TCP :
(Chaque flèche représente 1 paquet IP)
Avec TCP/IP, on peut maintenant communiquer de façon fiable entre logiciels situés sur des ordinateurs différents.
TCP/IP est utilisé pour des tas de choses:
– Dans votre navigateur, le protocole HTTP utilise le protocole TCP/IP pour envoyer et recevoir des pages HTML, des images GIF, JPG et toutes sortes d’autres données.
– FTP est un protocole qui permet d’envoyer et recevoir des fichiers. Il utilise également TCP/IP.
– Votre logiciel de courrier électronique utilise les protocoles SMTP et POP3 pour envoyer et recevoir des messages.
SMTP et POP3 utilisent eux aussi TCP/IP pour envoyer et recevoir des messages.
– Votre navigateur (et d’autres logiciels) utilisent le protocole DNS pour trouver l’adresse IP d’un ordinateur à partir de son nom (par exemple, de trouver 216.32.74.52 à partir de ‘www.yahoo.com‘).
Il existe ainsi des centaines de protocoles différents qui utilisent TCP/IP ou UDP/IP.
L’avantage de TCP sur UDP est que TCP permet des communications fiables.
L’inconvénient est qu’il nécessite une négociation (“Bonjour, prêt à communiquer ?” etc.), ce qui prend du temps.
Si vous êtes curieux et voulez voir tous les paquets IP échangés et
leur contenu, vous pouvez utiliser l’excellent logiciel Ethereal
(
http://www.ethereal.com ). Ce logiciel gratuit capture et décortique
tout ce qui transite par le réseau. C’est très instructif.
Quand vous voulez téléphoner à quelqu’un, vous devez connaître son numéro de téléphone.
Comme il est difficile de les retenir par coeur, on a inventé l’annuaire (qui permet de retrouver un numéro à partir d’un nom).
Nom : DUPONT =========> numéro de téléphone : 01.75.10.12.25 (c’est celui de ma copine)
C’est la même chose sur Internet: pour qu’un ordinateur puisse contacter un autre ordinateur, il doit connaître son adresse IP (exemple: 205.37.192.5). Pas facile à mémoriser non plus.
nom d’ordinateur: google ===============> adresse IP : 216.239.41.99
Par exemple, sur votre ordinateur, tapez : ping www.google.fr (en ligne de commande, dans une fenêtre CMD):
– Domain Name System : c’est l’ensemble des organismes qui gèrent les noms de domaine.
– Domain Name Service : le protocole qui permet d’échanger des informations à propos des domaines.
URL signifie “Uniform Ressource Locator”
Une URL est une simple ligne de texte qui permet de retrouver une
ressource ou une page (texte, image, musique, vidéo, programme…) sur
internet.
C’est la ligne de texte que vous voyez dans votre navigateur (http://…)
L’URL répond à 3 questions :
Exemple :
http://speedweb.chez.tiscali.fr/protocole.html
http:// On utilise le protocole http.
On va chercher l’information sur le serveur www du domaine Tiscali.fr
protocole.html On va chercher le fichier protocole.html.
Une page HTML contient des URLs vers d’autres pages (ce sont les liens), des URL vers les images, vers des feuilles de style, vers des applets Java, etc.
Vous entendrez aussi parler d’URI (Uniform Ressource Identifier) qui est une généralisation des URL.
Maintenant que nous avons fait un tour d’horizon, nous allons approfondir le sujet sur les protocoles TCP/IP
Afin de pouvoir appliquer le modèle TCP/IP à n’importe quelles machines, c’est-à-dire indépendamment du système d’exploitation, le système de protocoles TCP/IP a été décomposé en plusieurs modules effectuant chacun un rôle précis. De plus, ces modules effectuent des tâches les uns après les autres dans un ordre précis, on a donc un système stratifié, c’est la raison pour laquelle on parle de modèle en couches.
Le modèle TCP/IP s’inspire du modèle OSI (modèle comportant 7 couches) qui a été mis au point par l’organisation
internationale des standards (ISO, international standard organisation) afin de normaliser les communications entre ordinateurs.
OSI signifie “Open Systems Interconnection”, ce qui se traduit par “Interconnexion de systèmes ouverts“. Ce modèle a été mis en place par l‘ISO afin de mettre en place un standard de communications entre les ordinateurs d’un réseau, c’est-à-dire les règles qui gèrent les communications entre des ordinateurs. En effet, aux origines des réseaux chaque constructeur avait un système propre (on parle de système propriétaire). Ainsi de nombreux réseaux incompatibles coexistaient. C’est la raison pour laquelle l’établissement d’une norme a été nécessaire.
Le but d’un système en couches est de séparer le problème en différentes parties (les couches) selon leur niveau d’abstraction.
Chaque couche du modèle communique avec une couche adjacente (celle du dessus ou celle du dessous). Chaque couche utilise ainsi les services des couches inférieures et en fournit à celle de niveau supérieur.
Le modèle OSI est un modèle qui comporte 7 couches, tandis que le modèle TCP/IP n’en comporte que 4. En réalité le modèle TCP/IP
a été développé à peu près au même moment que le modèle OSI, c’est la
raison pour laquelle il s’en inspire mais n’est pas totalement conforme
aux spécifications du modèle OSI.
Les couches du modèle OSI sont les suivantes:
– La couche physique : définit la façon dont laquelle les données sont converties en signaux numériques
– La couche liaison données : définit l’interface avec la carte réseau
– La couche réseau : permet de gérer les adresses et le routage des données
– La couche transport :elle est chargée du transport des données et de la gestion des erreurs
– La couche session : définit l’ouverture des sessions sur les machines du réseau
– La couche application : assure l’interface avec les applications
Le modèle TCP/IP
Le modèle TCP/IP, inspiré du modèle OSI, reprend l’approche modulaire (utilisation de modules ou couches) mais en contient uniquement quatre:
Les rôles des différentes couches sont les suivants:
– Couche accès réseau : spécifie la forme sous laquelle les données doivent être acheminées quel que soit le type de réseau utilisé
– Couche Internet : elle est chargée de fournir le paquet de données (datagramme)
– Couche Application : elle englobe les applications standard du réseau (Telnet, SMTP, FTP, …)
Voici les principaux protocoles faisant partie de la suite TCP/IP:
Lors d’une transmission, les données traversent chacune des couches au niveau de la machine émettrice. A chaque couche, une information est ajoutée au paquet de données, il s’agit d’un en-tête, (ensemble d’informations qui garantit la transmission). Au niveau de la machine réceptrice, lors du passage dans chaque couche, l’en-tête est lu, puis supprimé. Ainsi, à la réception, le message est dans son état originel…
– Le paquet de données est appelé message au niveau de la couche application
– Le message est ensuite encapsulé sous forme de segment dans la couche transport
– Le segment une fois encapsulé dans la couche Internet prend le nom de datagramme
La couche accès réseau est la première couche de la pile TCP/IP,
elle offre les capacités à accéder à un réseau physique quel qu’il
soit, c’est-à-dire les moyens à mettre en oeuvre afin de transmettre des
données via un réseau.
Ainsi, la couche TCP/IP
contient toutes les spécifications concernant la transmission de données
sur un réseau physique, qu’il s’agisse de réseau local (Anneau à jeton,
ethernet, FDDI), de connexion à une ligne téléphonique ou n’importe
quel type de liaison à un réseau. Elle prend en charge les notions
suivantes:
– Acheminement des données sur la liaison
– Coordination de la transmission de données (synchronisation)
– Format des données
– Conversion des signaux (analogique/numérique)
– Contrôle des erreurs à l’arrivée
La couche Internet est la couche “la plus importante” (elles ont toutes leur importance) car c’est elle qui définit les datagrammes, et qui gère les notions d’adressage IP.
La couche Internet contient 5 protocoles:
– Le protocole ARP : (Address Resolution Protocol) permet à une machine (A) de trouver, si elle existe, l’adresse Ethernet d’une autre machine (B),
connectée sur le même réseau, en donnant uniquement l’adresse Internet
de celle-ci. Son rôle est de masquer l’adresse physique des machines aux
applications opérant à un niveau supérieur pour qu’elles ne manipulent
que les adresses Internet.
– Le protocole ICMP : (Internet Control Message Protocol), comme IP offre un service non fiable. Si donc un paquet est perdu ou qu’une anonmalie se produit au niveau des fonctionnalités de IP,
celui-ci ne rapporte aucune information quant à < l’erreur. Afin de
parer à cette faiblesse, les concepteurs ont introduit dans la famille
des protocoles TCP/IP un mécanisme appelé ICMP :
Ainsi, s’il arrive que
le protocole IP n’arrive pas à remplir son rôle correctement, il
l’indique au protocole ICMP qui émet alors un paquet à destination de la
station source notifiant la nature de l’erreur qui informe le protocole
IP de l’occurence de cette erreur. Ce dernier avisera alors. ICMP est
aussi utilisé pour tester un réseau.
– Le protocole IGMP : (Internet Group Management Protocol),
permet aux machines de déclarer leur appartenance à un ou plusieurs
groupes auprès du routeur multipoint dont elles dépendent soit
spontanément soit après interrogation du routeur.
Celui-ci diffusera
alors les datagrammes destinés à ce ou ces groupes. IGMP, comme ICMP,
fait partie de IP (protocole numéro 2) et comprend essentiellement deux
types de messages : un message d’interrogation (Host Membership Query),
utilisé par les routeurs, pour découvrir et/ou suivre l’existence de
membres d’un groupe et un message de réponse (Host Membership Report),
délivré en réponse au premier, par au moins un membre du groupe
concerné.
Les protocoles des couches précédentes permettaient d’envoyer des
informations d’une machine à une autre. La couche transport permet à des
applications tournant sur des machines distantes de communiquer. Le
problème consiste à identifier ces applications.
En effet, suivant la machine et son système d’exploitation, l’application pourra être un programme, une tâche, un processus…
De
plus, la dénomination de l’application peut varier d’un système à un
autre, c’est la raison pour laquelle un système de numéro a été mis en
place afin de pouvoir associer un type d’application à un type de
données, ces identifiants sont appelés ports.
– TCP, un protocole orienté connexion qui assure le contrôle des erreurs
– UDP, un protocole non orienté connexion dont le contrôle d’erreur est archaïque
La couche application est la couche située au sommet des couches de protocoles TCP/IP. Celle-ci contient les applications réseau permettant de communiquer grâce aux couches inférieures.
Les
logiciels de cette couche communiquent donc grâce à un des deux
protocoles de la couche inférieure (la couche transport) c’est-à-dire TCP ou UDP.
Les applications de cette couche sont de différents types, mais la plupart sont des services réseau, c’est-à-dire des applications fournies à l’utilisateur pour assurer l’interface avec le système d’exploitation. On peut les classer selon les services qu’ils rendent:
– Les services de gestion (transfert) de fichier et d’impression
– Les services de connexion au réseau
– Les services de connexion à distance
Vous suivez toujours !
Bon, maintenant que nous avons fait
le tour des protocoles TCP/IP, voyons quelques notions supplémentaires
sur la connaissance Réseau.
Le protocole DHCP
Ce protocole permet aux administrateurs de réseaux TCP/IP
de configurer les postes clients de façon automatique. Il a été utilisé
par les fournisseurs d’accès à l’Internet par le câble, mais a été
abandonné au profit d’une connexion point à point type PPP, comme pour
l’ADSL.
DHCP reste cependant un protocole de configuration de clients extrêmement pratique sur un réseau local Ethernet.
Bien que dans la plupart des cas, DHCP soit un luxe sur un réseau domestique, il peut tout de même y avoir plusieurs raisons pour vous pousser à l’utiliser :
– Vous avez des portables que vous connectez sur divers réseaux, typiquement chez vous et sur votre lieu de travail
– vous organisez chez vous des “Lan parties” avec les machines de vos collègues,
– votre réseau local contient plusieurs dizaines de machines (vous avez une famille nombreuse, certainement),
– vous aimez bien vous compliquer la vie à bricoler avec votre Linux,
– vous aimez le luxe, tout simplement.
Sans rentrer dans les détails, un serveur DHCP permet d’attribuer des adresses IP dynamiquement, c’est le cas de votre FAI en principe, à chaque fois que vous vous connectez sur le net, il vous attribue une nouvelle adresse IP.
NAT
La technique de translation d’adresses (NAT en anglais) est une pratique courante qui est apparue à l’origine pour palier au manque croissant d’adresses IPv4 libres. il y a donc peu d’adresses disponibles en comparaison du nombre croissant de machines sur Internet. Il fut donc décidé de réserver des intervalles d’adresses à des usages privés uniquement . Ce sont les adresses :
10.0.0.0 – 10.255.255.255 (10/8 prefix)
172.16.0.0 – 172.31.255.255 (172.16/12 prefix)
En conséquence, ces adresses ne sont pas routables sur Internet et ne doivent pas être utilisées par des machines de ce réseau.
Par contre, tous les réseaux privés peuvent utiliser ces adresses sans restrictions.
Un serveur Proxy ( Proxy server, appelé aussi serveur mandataire)
est à l’origine une machine faisant fonction d’intermédiaire entre les
ordinateurs d’un réseau local (utilisant parfois des protocoles autres
que le protocole TCP/IP) et internet.
Cette fonctionnalité implémentée dans certains serveurs Proxy permet d’une part de réduire l’utilisation de la bande passante vers Internet ainsi que de réduire le temps d’accès aux documents pour les utilisateurs.
Toutefois, pour mener à bien cette mission, il est nécessaire que le Proxy compare régulièrement les données qu’il stocke en
1. Les adresses de classe A sont assignées à des réseaux ayant un très grand nombre d’hôtes. Ici, le masque de sous-réseau est 255.0.0.0 par défaut, et le premier octet est compris entre 0 et 126.
2. Les adresses de classe B sont assignées à des réseaux ayant un nombre d’hôtes assez important. Ici, le masque de sous-réseau est 255.255.0.0 par défaut, et le premier octet est compris entre 128 et 191.
Voila, vous en savez un petit peu plus sur le “Comment mon PC communique avec le reste du monde”


Patrouilleurs lance-missiles chinois (Reuters/China Daily)[/caption][/caption] [/caption]
Il ne faut pas oublier que ce que j’ai appelé le Go West Young Han de l’expansion de l’influence commerciale de la Chine a en fait commencé dès 1999. La première étape s’est traduite par une vague de délocalisation d’usines de la province du Guangdong vers les provinces de l’intérieur. Au bout de quelques années, dans le Triangle du Guangdong – aujourd’hui beaucoup plus riche que bien des pays industriels –, des entrepreneurs soucieux du cycle de vie des produits se sont lancés dans une accélération technologique frénétique. Dans la mégalopole de Shenzhen, les autorités vont d’ailleurs jusqu’à repousser les entreprises moins axées sur la technologie vers la périphérie de la ville.
Dans le domaine des ports de marchandises, sur les dix plus grands ports du monde, pas moins de sept sont en Chine. À lui seul, ce chiffre est révélateur de la domination écrasante de la Chine dans le commerce maritime mondial.
En termes de gestion, le plan 125 – c’est-à-dire le 12e plan quinquennal chinois – expire en 2015. En Occident, peu de gens savent que les objectifs des sept domaines technologiques où la Chine voulait dominer ont été atteints et même, dans certains cas, dépassés. Le grand bond en avant technologique explique pourquoi la Chine est aujourd’hui capable de construire des réseaux d’infrastructures, chose qui semblait auparavant impossible.
Les murmures de mécontentement incessants du Pentagone au sujet de la mer de Chine méridionale ne sont que la partie visible de l’iceberg (mortel), mer que Washington considère finalement comme un Grand Lac américain.
En attendant, Washington va continuer d’être submergé de ce type d’analyse paranoïde d’un ancien conseiller stratégique du haut commandement US/OTAN en Afghanistan.

À Washington, on a beaucoup grondé que personne n’a droit à une zone d’influence – en dehors des États-Unis, bien entendu. Pourtant, les efforts économiques, financiers, diplomatiques et géopolitiques de Pékin en vue d’unifier l’Eurasie représentent la surenchère suprême dans l’exercice d’une influence mondiale. Finalement, la tactique habituelle inspirée des Romains, Divide et impera, appliquée par l’Occident, pourrait bien se révéler inopérante.

Sa ruée vers l’Ouest, conséquence naturelle d’une politique officielle lancée en 1999 mais, à l’époque, limitée principalement au Xinjiang, conduit Pékin à s’ouvrir de plus en plus sur le monde. Pour s’en convaincre, il suffit de voir le nombre de pays orientaux et occidentaux qui ont intégré la Banque asiatique d’investissement pour les infrastructures (BAII).

« Cinquante-et-un laboratoires, dans 17 États américains et le District de Columbia, et trois pays étrangers ont reçu des échantillons » susceptibles de contenir des bacilles vivants, et ce nombre peut continuer à augmenter, a déclaré M. Work, soulignant qu’il n’y avait en revanche « aucun risque identifié » pour la santé publique.
Ces chiffres sont beaucoup plus importants que ceux que le Pentagone avait présentés initialement.
Selon M. Work, les concentrations de bacilles vivants dans les échantillons sont si faibles que le risque de contamination est de « zéro » pour le grand public et les entreprises de transport qui ont acheminé les lots suspects.
Au total 400 lots, produit par quatre laboratoires militaires américains vont être testés.
Le Pentagone envoi par « erreur » un bacille…

Premièrement, elle est contradictoire, et pour plusieurs raisons. Il annonce abaisser le seuil de 15 euros pour le paiement par CB, alors que les planchers sont fixés par contrat entre le commerçant et sa banque ; il annonce la suppression de la part fixe de la commission bancaire, sans mettre complètement les pieds dans le plat des tarifs bancaires puisque c’est la commission commerciale qui est la plus importante (0,5 à 3% de la facture) ; enfin c’est presque un sabordage du développement des technologies de paiement sans contact, qu’il annonce vouloir favoriser.
Deuxièmement, elle ne répond pas aux besoins : le consommateur risque de voir le tarif de sa carte bancaire augmenter, puisque les banques estiment que les commissions sont représentatives d’un travail. Elle voudront récupérer ailleurs ce qu’elles perdront chez les commerçants. En conclusion, la démarche de Michel Sapin a un côté manipulateur et opportuniste. C’est de la poudre aux yeux, et cela ne résout en rien les problèmes des commerçants.
Quand les commissions interbancaires ont été limitées en 2011, cela n’a eu strictement aucun effet.
Il ne s’agit pas de tracer le consommateur, mais plutôt de pouvoir mieux contrôler les commerçants qui drainent beaucoup de liquide.

L'Afrique perd chaque année des milliards de dollars suite aux privilèges fiscaux accordés aux sociétés internationales opérant sur le continent.
Les sociétés internationales opérant en Afrique ne paient pas intégralement leurs impôts, ce qui prive chaque année les pays africains de milliards de dollars de revenus, a déclaré Winnie Byanyima, directrice de la confédération internationale Oxfam créée pour combattre l'injustice et la pauvreté.
"L'Afrique perd des milliards de dollars suite à la fraude des sociétés internationales qui privent les gouvernements africains de revenus vitaux en omettant de payer intégralement les impôts", a annoncé Mme Byanyima citée par l'agence allemande DPA.
Selon Oxfam, pour accepter de s'implanter en Afrique, ces sociétés réclament des facilités fiscales. De la sorte, six grandes entreprises minières étrangères basées en Sierra Léone bénéficient de réductions fiscales de 59%, ce qui équivaut au budget national de ce pays.
Au cours des 30 dernières années, l'Afrique a subi un manque à gagner d'environ 1.400 milliards de dollars, ce qui représente une somme deux fois supérieure au montant de l'aide apportée pendant la même période aux pays africains et quatre fois supérieure à la dette extérieure du continent.

Un texte de plus sur le complotisme, pourrait-on dire. Il n’est publié ici que pour ceux qui auraient besoin d’arguments dans leurs différents échanges. Mais le complotisme n’a pas besoin d’arguments ni de justifications. En fait ceux qui ont créé cette notion ont aussi créé l’obligation de se justifier pour tous ceux qui doutent. Il faudrait refuser de se laisser enfermer dans ce piège à c… Le doute, quel qu’il soit est salutaire et même nécessaire, et surtout n’a aune cause. Il n’a donc besoin d’aucune preuve, contrairement aux affirmations. Au-delà du doute, le refus d’une explication est tout aussi légitime. C’est d’ailleurs ce qui fait progresser la science et la pensée humaine. Tous les grands hommes que nous vénérons aujourd’hui étaient des complotistes. Jésus l’était, tout comme Galilée et tant d’autres. Il a fallu qu’ils s’affranchissent des explications qu’on leur donnait pour voir le monde différemment.
En 1965, le président Johnson devait commenter : «Pour ce que j’en sais, notre marine avait tiré sur des baleines.» Il convient de souligner également ceci : l’historien officiel de l’ANS, Robert J. Hanyok, rapporta par écrit que l’agence avait délibérément modifié les rapports des services de renseignements, en 1964.
4. L’opération Northwoods : l’armée US avait planifié une opération sous faux drapeau pour impliquer Cuba
Le réseau de la drogue, comme l’appela Webb dans un article du San
Jose Mercury en 1996, «a inauguré le premier canal entre les cartels de
la cocaïne en Colombie et les banlieues noires de Los Angeles, une ville
rebaptisée depuis la capitale mondiale du crack. La cocaïne, qui coula à
flots, fut l’étincelle qui fit exploser la consommation de crack dans
les villes US… et fournit les capitaux et les contacts nécessaires aux
gangs pour acquérir des armes automatiques.»
Selon la théorie complotiste : COINTELPRO consistait en une série de projets illégaux et clandestins du FBI, permettant l’infiltration d’organisations politiques états-uniennes afin de les discréditer et de les diffamer.
L’ULCA poursuit la NSA devant les tribunaux, affirmant que cette sorte de pêche au gros filet de collecte de données est une violation du quatrième amendement relatif à la vie privée, ainsi que du premier portant sur la liberté d’expression et d’association.

Traduction: Beaucoup de gens ne savent même pas qui est Jeremy Hammond. Il est le Snowden originel.
Douglas Lucas est un journaliste en free-lance de Fort Worth, au Texas. Lucas a bénéficié d’un accès anticipé aux GI Files à travers un partenariat avec WikiLeaks. Tous deux se sont joints à MintPress, mercredi dans un café d’Austin.
« Snowden nous transmet un message de réforme », explique-t-elle. « Comme si nous n’avions qu’à modifier une certaine chose, pour que tout rentre dans l’ordre en ce qui concerne la surveillance corporatiste et gouvernementale. Tandis que Jeremy nous dit que tout cela est détestable, et doit être entièrement démantelé ».
Lucas donna des exemples de détails clé souvent révélés par les e-mails: « à qui Stratfor vendaient-ils leurs renseignements? Que faisait Fred Burton le jour où il s’est adressé aux médias? »
« Jeremy n’a pas fait qu’infiltrer Stratfor discrètement. Il est entré avec fracas et a fait en sorte de réduire Stratfor en pièces », conclut-elle. « Cela leur a pris six mois pour que leurs serveurs soient à nouveau opérationnels! »
L’article concernant les déficits zéro de 1995 et 2015 du budget de l’État québécois paru récemment l'ex-ministre péquiste Louise Harel fait la démonstration d’une façon tout à fait convaincante de la vacuité du discours du premier ministre Couillard lorsqu’il assimile la démarche autoritaire de son gouvernement en vue de l’atteinte de l’équilibre budgétaire à l’approche du gouvernement Bouchard pour assainir les finances publiques du Québec 20 ans auparavant.
En effet, ce rapprochement entre le gouvernement de Lucien Bouchard, soucieux de consulter les divers partenaires de la vie socio-économique du Québec, et celui de Philippe Couillard, plutôt adepte du recours au bulldozer, ne tient pas la route.
Cela étant dit, madame Harel aurait pu rappeler au premier ministre Couillard, ce qu’il devrait pourtant savoir, que le gouvernement Bouchard avait dû composer à l’époque avec une réduction unilatérale des transferts fédéraux. Ceux-ci furent en effet réduits de 1,4 milliard en 1996-1997 et de 1,7 milliard en 1997-1998. Voilà qui démontre bien pourquoi le gouvernement Bouchard, avec un service de la dette accaparant en moyenne 17 % des revenus totaux de l’État au cours de cette période, se trouvait dans une situation financière beaucoup plus précaire qu’elle ne l’est aujourd’hui pour le gouvernement Couillard, qui consacre à peine 10 % de ses revenus totaux au remboursement de la dette.
N’eût été ces décisions irresponsables et irréfléchies prises à Ottawa par les amis libéraux du présent gouvernement, il n’aurait sans doute pas été nécessaire de dégarnir autant dans les années 90 les rangs des employés des secteurs public et parapublic. Se réclamer, comme le font le premier ministre Couillard et d’autres ténors libéraux, de l’exemple du gouvernement Bouchard pour tenter de justifier la brutalité de leur gouvernement dans l’entreprise d’affaiblissement de l’État québécois relève d’une malhonnêteté intellectuelle qu’il faut dénoncer haut et fort.

Il est par ailleurs intervenu au sujet de la réforme visant à limiter la capacité de l’Agence nationale de sécurité (NSA) de collecter des données aux États-Unis, rejetée ce samedi par le Sénat. Cette réforme présentait comme une réponse au scandale suscité par les révélations d’Edward Snowden il y a bientôt deux ans.
En France, l’Assemblée nationale a adopté le controversé projet de loi sur le renseignement, qui prévoit notamment les boîtes noires pour surveiller le Web et trouver les terroristes en puissance.
Je ne comprends pas l’acharnement des promoteurs du pipeline Énergie Est à vouloir faire passer leur tronçon dans la vallée du Saint-Laurent malgré tous les inconvénients que suscite ce passage à travers des cours d’eau qui sont notre richesse collective. Comprenant que le but premier est d’acheminer le pétrole brut vers l’étranger au moindre coût en utilisant les équipements du port de Saint-Jean au Nouveau-Brunswick, je crois qu’ici, on a tout faux !
Qu’on m’éclaire là-dessus, mais ne serait-il pas plus approprié et plus acceptable pour la société civile de changer tout simplement son parcours ? Considérant que les gisements pétroliers de l’Ouest canadien se trouvent très au nord, il faut faire avec la géographie. La logique serait d’envisager un passage entre la ligne de partage des eaux se jetant au nord vers la baie James et celles qui descendent au sud vers le Saint-Laurent avec en prime un port tout trouvé, c’est-à-dire Sept-Îles. Ce qui, à défaut de redevances attendues, nous donnerait un minimum de retombées économiques…
Dernièrement, je suis allé prendre un petit-déjeuner sur une terrasse dans le Vieux-Québec avec ma conjointe. On nous a placés à une table tout près du trottoir. Après quelques minutes, je me suis allumé une cigarette. Quelques secondes plus tard, un employé du restaurant est venu m’avertir qu’il était défendu de fumer sur la terrasse. J’ai aussitôt obéi et me suis déplacé sur le trottoir tout près de la terrasse.
Vous comprendrez que la fumée de ma cigarette se dissipait autant sur le trottoir que sur la terrasse, mais je respectais de la sorte le règlement ! C’est alors que je me suis rappelé mes cours de latin et que m’est revenue la maxime In medio stat virtus, que je traduirais par « En mesurant trop, on entre en démesure ».
Comme le proclamait à raison Aristote dans son Éthique à Nicomaque : « L’excès est une faute et le manque provoque le blâme ; en revanche, la juste moyenne obtient des éloges et le succès, double résultat propre à la vertu. La vertu est donc une sorte de moyenne, puisque le but qu’elle se propose est un équilibre entre deux extrêmes… »

L'Aloe vera, cette plante aux épines souples et à la sève douce, possède une multitude d'utilisations.
Il y a 6 000 ans, les Égyptiens la surnommaient « plante de l'immortalité » — ce n'est pas pour rien !
En effet, un des soins de beauté de Cléopâtre était l'application de gel d'Aloe vera sur tout son corps.
Les Grecs l'utilisaient aussi comme remède pour combattre la calvitie et traiter l'insomnie.
Et en raison de ses multiples vertus, les Indiens d'Amérique la surnommaient « baguette magique du paradis ».
L'Aloe vera produit pas moins de 6 antiseptiques naturels. Ces composants peuvent éliminer :
- la moisissure,
- les bactéries,
- les mycoses ou autres champignons,
- et même les virus.
Mais attention : que ce soit pour en usage externe ou interne, il est toujours conseillé de consulter son médecin au préalable. Nous ne sommes pas médecins - simplement des adeptes de la formidable et miraculeuse Aloe vera. ?
Pareillement pour le jus d'Aloe vera certifié bio : on en trouve facilement dans les magasins bio.
Les 40 utilisations de l'Aloe vera?
4. Élimine les hématomes. Appliquez du gel d'Aloe vera directement sur les bleus pour un apaisement rapide.
6. Soulage les piqûres d'insectes. L'Aloe vera apaise la douleur d'une piqûre et élimine la sensation de démangeaison.
9. Soin exfoliant pour les pieds. Vous voulez des pieds doux comme une peau de bébé ? Pour vous faire un masque exfoliant « spécial pieds », il suffit de mélanger ces ingrédients :
- 150 g de flocons d'avoine,
- 90 g de semoule de maïs,
- 4 cuillères à soupe de gel d'Aloe vera,
18. Soigne la rosacée. Cette maladie cutanée, aussi connue sous le nom de couperose, est incurable. En revanche, l'Aloe vera est un traitement efficace contre l'acné symptomatique de cette maladie.
20. Un traitement anti-vieillesse de la peau. Combattez les rides et le vieillissement de la peau en appliquant de l'Aloe vera. C'est exactement ce que faisait Cléopâtre !
22. Éclaircit la peau. L'Aloe vera réduit les taches pigmentaires de la peau, ainsi que la pigmentation en général.
23. Un masque exfoliant pour le corps. Rajeunissez votre peau avec un soin exfoliant 100% bio. Il suffit de mélanger ces ingrédients :
- 2 cuillères à soupe d'Aloe vera,
- 2 cuillères à soupe de sucre de canne bio,
24. Un masque exfoliant pour les peaux rugueuses. Pour les zones plus rugueuses de la peau (les coudes, par exemple), vous pouvez essayez un soin exfoliant plus adapté (et toujours bio). Voici les ingrédients :
- 550 g de sel de marin,
- 225 g de gel d'Aloe vera,
- 200 g d'huile de coco,
25. Fait pousser les cheveux. L'Aloe vera peut accélérer la croissance capillaire.
26. Élimine les pellicules. Pour contrôler les pellicules, voici comment préparer un traitement fait-maison. Il vous faut les ingrédients suivants :
Mélangez ces ingrédients, à parts égales. Puis, massez votre cuir chevelu avec le mélange et rincez abondamment.
34. Soulage l'asthme. Pour soigner votre asthme, faites une inhalation à base de feuilles d'Aloe vera. Il suffit d'en faire bouillir et de respirer les vapeurs (mais prenez garde à ne pas vous brûler les narines).
36. Renforce les gencives et favorise la santé des dents. Boire du jus d'Aloe vera et se brosser les dents avec du dentifrice à base d'Aloe vera : ces 2 gestes sont bénéfiques à la santé de vos gencives et de vos dents.
40. Une plante miraculeuse. Voilà, vous savez tout sur les bienfaits de la « plante de l'immortalité » !

Toute personne cultivée se rend compte que l’argent que nous utilisons est de la dette, ou du « crédit ». Généralement, un banquier faisant un « crédit » inscrit: « j’ai donné telle somme à… », et cette simple écriture fait « l’argent », car l’emprunteur doit rembourser la somme enregistrée avec intérêts. Cet argent dont nous nous servons à court terme, représente, à long terme et à grande échelle, une machine à pomper les ressources matérielles, et la base d’un pouvoir aux mains d’un tout petit groupe de personnes, leur donnant les moyens d’asservir les peuples.
Avec le temps les banques centrales nationales de nombreux pays sont devenues ses filiales. Fait curieux, le fondateur de la « réserve fédérale » John Morgan était un descendant du fameux pirate surnommé « Cruel ». Le système de réserves fractionnaires contemporain est tout à fait équivalent à la production de la fausse monnaie.
Il en résulte un conditionnement permettant l’acceptation d’une situation factice dans laquelle la répartition des biens se fait en faveur d’une petite minorité parasite. On voit les technologies de pointe (toujours utilisées, en premier lieu, pour produire des moyens sophistiqués de meurtre) en progrès permanent et, dans le même temps, la conscience humaine délibérément réprimée. Nous entendons parler des ressourses naturelles limitées? Mais la bonne moitié de ces ressources sert à produire les moyens à tuer. Si l’on considère la richesse du point de vue de la capacité à consommer, il est évident qu’un humain n’a pas besoin de manger pour trois, malgré toutes les incitations à la consommation. L’accumulation de richesses entre quelques mains, les mains de ces « êtres suprêmes », outre qu’elle sert à dévoyer les futurs collaborateurs, est surtout destinée à accumuler et conserver le pouvoir absolu…
En incorporant le mariage homosexuel ou les organismes génétiquement modifiés, en supprimant le cash, on nous conduit directement vers la transition à l’état animal au sens strict du terme. Par conséquent, obéir aveuglément, accepter tout sans réfléchir, sans faire attention et sans voir en perspective, signifie trahir son essence humaine.
Déléguer ses responsabilités, comme l’histoire le prouve, amène beaucoup de risques et offre peu de gains. Ainsi, l’issue ne tient qu’à la capacité de chacun de prendre ses responsabilités dans la société, tout simplement dans ses choix au quotidien, à commencer par éviter tout assujettissement quel qu’il soit, médiatique, numérique, vis-à-vis du « crédit », etc. Prendre part à la vie locale, faire du jogging, ou encore mille choses… Agir chacun à sa façon et dans l’esprit commun, ça fait un ensemble, une révolution de type inconnu.

En allant plus loin, on pourrait même imaginer que l'ambulance vienne vous chercher directement lorsque les puces signaleront que vous avez pris au même moment deux médicaments incompatibles !
« résoudre un problème partagé par les médecins, les compagnies pharmaceutiques, et les assurances santé : les gens ne prennent pas toujours leurs médicaments, ce qui peut entraîner des résultats plus mauvais pour la santé, réduire les ventes de médicaments, et augmenter les dépenses de santé... pour prendre des parts de marché, le système Proteus doit prouver qu'il parvient à augmenter le rythme auquel les patients prennent leurs médicaments...»
« D'accord, mais cela ne va pas réduire mon libre-arbitre. Si je ne veux pas avaler le médicament, ce n'est pas la puce à l'intérieur qui y changera quoi que ce soit », m'a répondu un ami. J'espère qu'il a raison. Mais je me méfie.
Cependant, le Wall Street Journal signale que d'autres start-up sont sur la piste des médicaments mouchards : MeadWestvaco Corp et Express Scripts Holding Co. Et cela ne me dit rien qui vaille.
Affaire à suivre, donc.
La semaine dernière, j’apprenais qu’un Tim Hortons venait d’ouvrir un comptoir express au coeur de la cafétéria du collège Montmorency à Laval. Qui plus est, un Subway ouvrira ses portes aussi dans cette même institution d’enseignement, et ce, dès l’automne 2015, avec la bénédiction de la direction générale. Plusieurs autres cégeps de la province sont dans la même situation.
Quel est le problème ? Nous sommes pourtant dans une société de consommation qui promeut la libre entreprise. Ne devrions-nous pas être heureux de voir des entreprises nord-américaines fleurir chez nous ? Le problème, le voici, en trois volets.
D’abord, un cégep est une institution d’enseignement supérieur, pas d’un centre commercial ni une foire alimentaire. Le but est d’enseigner, pas de vendre des produits. Ce n’est pas comme s’il manquait de magasins à Laval, sur la Rive-Nord ou encore dans notre civilisation occidentale en général, où le nombre de Wal-Mart par habitantdépasse l’entendement.
Ensuite, depuis des années, les médecins, nutritionnistes et politiciens clament haut et fort qu’il y a un problème de surpoids chez les jeunes générations et que les principales causes sont la sédentarité et la malbouffe. A-t-on oublié le bon vieux dicton vantant « un esprit sain dans un corps sain » ?
Enfin, l’envahissement croissant des grandes marques commerciales en milieu scolaire a de quoi laisser songeur quant à la stratégie marketing de la direction du collège Montmorency. Quand est-ce que ça s’arrêtera ? Serai-je obligé d’introduire chacune de mes leçons par la présentation d’un commanditaire, comme à la radio ou à la télévision ? Devrai-je porter des chandails avec des logos de grandes marques ou des publicités ?
Même en tant qu’athée, je peux parfaitement comprendre le mouvement de colère de Jésus contre les marchands du temple. Tim Hortons et Subway vont très bien survivre s’ils ne sont pas sous-traités par la multinationale Chartwells dans notre collège qui doit rester, avant tout, un lieu d’enseignement.

Prenant la parole dans une conférence à Jérusalem, Yaalon a menacé : « Nous allons faire du mal aux civils libanais, y compris aux gamins. Nous avons eu un débat très long et sérieux… nous l’avons fait alors, nous l’avons fait dans la Bande de Gaza, nous allons le faire dans n’importe quel cycle d’hostilités à l’avenir. » Le responsable israélien a paru également menacer de lancer une bombe nucléaire sur l’Iran, bien qu’il ait dit « nous n’en sommes pas encore là ».
Yaalon a cherché à présenter ce mouvement militant populaire comme une sorte de front militaire. Il a dit que « la délégitimisation, BDS et le cadre de la loi » n’étaient qu’un « autre outil » dans la guerre des ennemis d’Israël.
Il a dit qu’Israël et ses supporters devraient se servir des tribunaux à travers le monde « pour les combattre en retour », voulant parler de ceux qui critiquent Israël, et c’est exactement ce que fait Shurat HaDin.